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Psychotic Lysanxia Journal intime créé par MazzyStar

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Ce journal est partiellement publique
Journal public


Préface
 Besoin Vital
 Névrose et Mégalomanie
 ...ou l'angoisse existentielle
 Mais à qui je m'adresse ou l'exhibitionnisme ambiant
 L'ivresse des notes
 Orgueil et Vanité
 Neutral
 Le pathétique de la Psychologie Moderne
 De l'Art de Camoufler : où la Puissance n'est que Fragilité
10   Les fragments de l'insaisissable
11   Nocturnes 2, 24 préludes opus 28– 1810/1849
12   Eveil à la Sensualité (où il suffit dÂ’un rien pour tout changer)
13   Lettre ouverte à ma pire ennemie. Tu es moi...
14   Tripartite
15   Si Elle est moi. Alors qui suis-je (pour Vous) ? « Réflexion sous Prazépam confirmée »
16   Chrysalide et Méta-Morphose
17   La faiblesse de mon humanité
18  LÂ’Incompatibilité de nos Perceptions (ou comment ne jamais se comprendre)
19   10*16cm dÂ’inutilité générale
20   Désirs et Frustration.
21   Le sexe et autres tourments
22   Algorithme de l'ignorance
23   Information
24   Les maux d'Icare
25   Avènement de celle que je n'avais pas tuée
26   Mea Culpa
27   Pauses Estivales
28   La géométrie de mon espace
29   Mémo des Ficelles
30   Le vert sur les murs
31   Mort et Naissance d'un Phénix (si seulement l'instable caméléon ne s'en mêlait pas)
LÂ’Incompatibilité de nos Perceptions (ou comment ne jamais se comprendre)      page publique

Suit son cours.
Comme si j’avais pu être capable de changer.
lÂ’Evolution.
Laissez moi rire. (doucement)
Vous vous croyez vraiment capable de changer ce qui vous définit aux yeux des autres ?
(sourire de l’assassinée.)

Rien n’a de grâce à leurs yeux.
Et les tiens ?

Vois la. Radieuse, inconstante, insupportable lunatique, délicieuse impulsive, parfaite emmerdeuse, sensible attentive.

Meurtrie et en plein désarroi.
Tu ne le saura pas quand elle te sourira ou tÂ’ignorera.

Tu m’écoeure aujourd’hui. Vous m’écoeurez. Au moins autant que je peux vous porter dans mon estime.
J’aimerais être niaise et idiote parfois.

La lucidité reste le malheur des gens en quête d’ailleurs…

Sans pitié.
(sourire de lÂ’amertume.)
Joie factice quand tout se brise autour de moi.

Des images au ralenti. CÂ’est ce que je vois. Floues et lointaines.
La notion de temps est en hibernation dans mon espace. Alors que la même est le reflet des festivités nocturnes qui se déroulent sous nos yeux.

A trop voir. A trop regarder.
La réalité nous noie. Impitoyable.

M’a t’on utilisé ? T’es tu seulement rendu compte de l’instant d’abandon profond qu’une femme comme moi peut ressentir quand son fragile équilibre est rompu, par toi ?
La souffrance sous le voile de l’épanouissement envié.

Et je ne pouvais pas leur échapper.
Alors que j’aurais tant fait pour être seule face à mes tourments. Il n’y a rien de plus rageant que d’être démasquée. En surface.

Je nÂ’ai plus dÂ’illusions. Mais pour une fois je vais poursuivre.
(sourire de lÂ’insolence.)

Lundi. 2h36.