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Psychotic Lysanxia Journal intime créé par MazzyStar

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Ce journal est partiellement publique
Journal public


Préface
 Besoin Vital
 Névrose et Mégalomanie
 ...ou l'angoisse existentielle
 Mais à qui je m'adresse ou l'exhibitionnisme ambiant
 L'ivresse des notes
 Orgueil et Vanité
 Neutral
 Le pathétique de la Psychologie Moderne
 De l'Art de Camoufler : où la Puissance n'est que Fragilité
10   Les fragments de l'insaisissable
11   Nocturnes 2, 24 préludes opus 28– 1810/1849
12   Eveil à la Sensualité (où il suffit dÂ’un rien pour tout changer)
13   Lettre ouverte à ma pire ennemie. Tu es moi...
14   Tripartite
15   Si Elle est moi. Alors qui suis-je (pour Vous) ? « Réflexion sous Prazépam confirmée »
16   Chrysalide et Méta-Morphose
17   La faiblesse de mon humanité
18   LÂ’Incompatibilité de nos Perceptions (ou comment ne jamais se comprendre)
19   10*16cm dÂ’inutilité générale
20   Désirs et Frustration.
21   Le sexe et autres tourments
22   Algorithme de l'ignorance
23   Information
24   Les maux d'Icare
25   Avènement de celle que je n'avais pas tuée
26   Mea Culpa
27   Pauses Estivales
28   La géométrie de mon espace
29   Mémo des Ficelles
30  Le vert sur les murs
31   Mort et Naissance d'un Phénix (si seulement l'instable caméléon ne s'en mêlait pas)
Le vert sur les murs      page publique

Mon père avait raison...

C'est le genre de conseil paternel bien attentionné auquel on ne prête pas plus d'importance qu'à la banalité quotidienne.
Ce matin, j'aurais pu joué ce que je détiens de plus précieux que je ne me trouverais pas là où je suis en ce moment.

Et j'aurais perdu.

Quelle assurance ! Quelle arrogance !
C'est encore elle qui m'a mené jusqu'ici.
Endroit confiné, anonyme, perdu dans la multitude.

Je pourrais y vivre le pire et mourir de l'absence du meilleur, mon corps pourrait y gire avec patience.
Car personne ne sait où me trouver.

Je t'ai déjà condamné. Mais te sentirais tu un peu responsable ?
Des ombres inquiétantes.
Peur primale de l'endroit sombre et sordide.
La femme redevient toujours une enfant sans défense malgré elle.
Et j'ai encore la faiblesse d'accueillir ton sourire et tes larmes en mon sein.

Le vert sur les murs, je sais maintenant que ça me donne la nausée.

La voilà cette retraite, ermitage anticipé !
Non. Je suis une figurante réelle de ces films de série B américains ici.

Et toi, l'autre échappé sans remords, tu profites bien de l'exotisme suave que nous n'aurons jamais à tes yeux embués ?

Quand on les rencontre, ils nous fascinent, on les aime et, soyons honnêtes, c'est qu'à leur côté notre égo est flatté.
Le temps et son érosion naturelle, l'entrée dans le paysage trop quotidien, la stagnation >
> sublimation en mode échec

Tout devient ridiculement honteux et on s'en veut tellement de s'en rendre compte.

L'Homme ? Perfectible ?

Une femme se fait battre toutes les 4 minutes par un homme.

Mon père n'avait pas raison.

Samedi. 0h04.

[ DEAD CAN DANCE / INTO THE LABYRINTH + LED ZEPPELIN / HOUSES OF THE HOLY]