 Journal public |
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tout a commencer le 7 août 2003
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Comme je dis souvent, le vrai tombeau des morts, c'est le coeur des vivants.
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l'hĂ´pital psychiatrique
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ma description
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Les comparaisons
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l'hopital psychiatrique plus en detail
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jai dla misère de vivre avec ce que je suis
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une chanson.. de ma vie
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afi... a fire inside... ceux qui me laissent ici
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mon coeur est sombre... il le resteras
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partir est ce que je désir
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La nostalgie de l'ange
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Le sot de l'ange
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tout ce que je pense en belle phrase
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le lac-Ă -la-perchaude! avec fred... spour toi grand maman...
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grand papa
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de retour en enfer
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Pourquoi tout va si mal?
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le bout de tout
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SA ME FAIT TELLEMENT CHIER
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2 ans plus tard
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L'hôpital psychiatrique... oui ji suis retournée
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Je recommence...
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Les points positif reviennent après tout ça...
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Ma premiere crise dangoisse suicidaire
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Problème familiaux
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ohhh ouaisss! oh ouais!
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Daniel... r.i.p
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mon site web
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plus que trois jours avant la psy
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ma psy...
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moi et steven
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mes roses noires et moi
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Les journées s'éclaircissent
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quand le suicide peend le dessus
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Que la lumière sois!.. Malgré tout, elle ne fut pas
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20 ans passé
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2 mois
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St-Jean et domaine maiszeret
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un été a passé... peut-être trop tourmanté
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jours après jours...
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Demain, dès l'aube
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Jalousie... bien retournée
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toi dans ta tombe, moi qui pleur, deux ans après ta mort
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Le cimetière ce matin
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AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
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Lettre a Miran
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Miran demain
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mon i book!!!
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Ma fĂŞte!
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Behemoth
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Behemoth
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DEVISE DES SAINT-JOHN - Victor Hugo
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La vie autre part
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J'ai parlé avec papa de tout ça
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Recouper
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PU DE BROCHE!!!
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YVAN!
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TOUT REDEVIENS SOMBRE
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les retrouvailles de la mort
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les retrouvailles de la mort
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Occupation
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tresses
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Pascal
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Pascal2
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Aznéla Nyvard
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Pascal et notre soirée d'hier
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vidage de sac
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Delivre moi
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La mort de max
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Pourquoi, le destin
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Hirondelle
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hirondelle 2
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Enragée
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streptocoque + mononucleose
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la vie reprend vie
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Johnny Winter, 22 avril au cabaret du Capitole de Quebec!!!!!
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La cantatrice, le rouge goerge de mes désirs!
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matante margo, mon chum, et finalement mon oncle guy
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retour au bonheur?
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Depuis longtemps
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Les derničres nouvelles.
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Le journal prend fin
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vidage de sac page publique
Bon, j’ai décidé d’écrire. J’ai besoin de parler, d’écrire mes sentiments, je vais exploser. J’ai des baisses de bonne humeur ces temps-ci. Je me sens… Bizarre. Je ne sais pas trop quoi penser de ce que je suis devenue, aussi. Mais bon, passons. J’écris surtout pour ressortir le méchant de moi. Ressortir toute merde de mon corps. Avec le temps, l’expérience et les « professionnel », j’ai compris qu’il ne fallait jamais rien gardé pour sois… toujours dire ce que l’on pensait à quelqu’un, une personne de confiance ou… bon l’écrire, comme je le fais en ce moment. Ne lisez pas si vous ne le voulez pas. Faites ce que vous voulez, je m’en fou. Tant que j’ai l’impression que quelqu’un me lis, c’est parfais.
Je n’ai jamais la conscience tranquille ces derniers temps. Je pense toujours à quelque chose… À quelqu’un… Oui, quelqu’un… Malheureusement. Heureusement, ou malheureusement? Hmm, y’a un peu des deux. Je suis plus qu’heureuse de le connaître, de partager mes sentiments avec lui. De lui dire ce que je pense, de lui décrire mon passé sans trop me faire juger, de lui dire mes opinions tout en partageant les mêmes goûts… les mêmes paroles. Je suis heureuse dès le premier moment que je le vois. Quand tout va mal, y’a juste lui qui sait me faire sourire dernièrement. Je pense à lui, prend une grande respiration et j’en ai des frissons qui me parcourent le corps en repensant aux moments passés. Je passe mes journées entières à penser à lui. Il me hante, tout autant qu’il me fait peur, qu’en même temps, j’essaie d’oublier mes sentiments. Pourquoi? L’inaccessible. L’inaccessible… Malheureusement. C’est le seul côté négatif. Je n’ai jamais aimé comme maintenant. C’est bizarre; à la minute que je dois aimer, sincèrement… Il y a quelque chose qui met une embûche dans le chemin… Pour cette fois-ci, je sais déjà que l’embûche est infranchissable. Je ne peux passer par-dessus. Ce n’est plus une embûche, c’est un mur dont on peut voir de l’autre côté, mais sans le toucher… Sans lui appartenir… Un mur que je ne peux grimper, ni trouer…Je ne peux passer par-dessus. Je dois donc... le contourner comme si de rien n’était. Comme si je ne savais pas ce qu’il y avait en arrière du mur… Comme si je n’avais rien vue.
Pourquoi ne puis-je pas vieillir en une seule nuit de 6 ans? Pourquoi ne peut-il pas m’aimer? L’inaccessible. Je hais la vie. Il a tout fais pour me rendre la vie compliqué. Il a tué mes proches et noirci ma vie au crayon de plomb. Il m’a mené vers un chemin qui n’est jamais emprunté alors qu’il aurait du me mener vers l’autoroute. J’essaie de retrouver mon chemin mais je ne peux en sortir… cette forêt sans fin m’englouti, peu à peu, l’infime partie de conscience qu’il me reste. Il aime me voir souffrir comme une vulgaire fourmi inoffensive que l’on fait brûler avec une loupe et le soleil, l’été…Une parmi tant d’autre… les autres s,enfuient tandis qu’elle reste la, a brûlé… À mourir. J’aimerais que ce fardeaux cesse de peser sur mes épaules… Qu’il s’en aille. Qu’il s’évanouisse.
Je serai donc obligé de n’être qu’une simple amie. Ce poste ne me dérange pas, au contraire! Il est tellement important. Je ne pourrais le laisser partir. Ce serait une grosse erreur de ma part et, une fois de plus, je ne pourrais me le pardonner. Ce serait l’erreur la plus stupide que j’aurais faite. Laisser quelqu’un comme lui, ça ne se fait pas.
J’aurais pu ne pas tomber sur lui aussi. J’aurais pu ne pas croiser son chemin, et je n’aurais jamais connu sa personne… Voyez-vous, je ne serais pas dans cet état-ci si j n’aurais pas rencontrée ******…Ma vie aurais été différente à un tel point qu’elle n’aurait pas eu de but dernièrement. Il a redonner de la joie dans ma vie. Il m’a redonner confiance. Il m’a redonner vie.
Il n’y a pas que lui, qui me rende dans cet état… Je crois toujours que le passé, deviens du passé jour après jour. Je me dis, oubli ça, tu l’as vécu, c’est fini… Mais… Je sais, au fond de moi, que j’y pense toujours. Elle est toujours présente dans ma vie. Elle me réveille la nuit autant qu’avant. L’erreur de l, avoir laissé partir toute seule me hante toujours. Elle ne mérite pas cet endroit seul, sans personne. Je me demande où elle est en ce moment... Me regarde-t-elle d’en haut? Pleure-t-elle? Je ne sais pas. .. Elle joue sûrement au scrabble, au carte… peut-être qu’elle est en journée magasinage? Elle met peut-être son vernis à ongle, si soigneusement… Avec ses yeux « lait écrémé » son sourir… Ses cheveux couleur des blés. Elle me manque comme jamais. C’est long! C’est tellement long le temps sans elle.
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