 Journal public |
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13 -14 juillet page publique
Week-end un peu mouvementé. Le samedi, la cousine et son mari sont venus pour passer ces 3 jours avec nous. Le dimanche, nous avons fleinardé au soleil, cherchant quelques sujets de conversation tandis que les hommes se faisaient des jeux sur la ps2. Moi, je me suis mise à faire mes bracelets bresiliens, afin de m occuper mes doigts et mon esprit surtout. Le soir, nous étions invités chez mes beaux-parents. On avait mis de la musique mais forcément tout le monde restait assis. Ma fille n attendait qu une chose c etait d'aller au feu d'artifice. Nous partimes donc vers 22h et malgré le monde nous trouvâmes une place au bord de la Loire. Enfin, la ville fut plongée dans le noir. Et les premiers pétards raisonnèrent. Il etait tres beau ce feu. De plus en plus beau chaque année. En fait, je crois qu on peut remercier notre ancien maire qui etait J. Lang, d avoir permis à cette ville d avoir un feu de plus en plus magnifique. Aujourd hui et ce depuis les dernières élections, le maire actuel est contraint d en faire autant si ce n est que mieux. 25 minutes de bonheur a regarder les lumières, les fusées comme si elles se jetaient sur nous. Puis, nous devions aller voir un orchestre, pour une fois qu ils etaient décidaient. Mais manque de chance il a été annulé. donc nous sommes rentrés. Dimanche, levée à 11h, j ai fait péter la sono et je me suis complétement défoulée. Ca fait du bien des fois, tu passes pour une folle mais au moins je me suis éclatée toute seule. Journée trés chaude, journée où la piscine fut appréciée, les batailles d eau aussi. L alcool fut là aussi. Le soir, tout le monde s etait reunit chez nous. Nous sommes repartis, faire la retraite au flambeau, chercher des lampions pour les enfants et suivirent la fanfare pour arriver au stade. Le feu n etait rien à cote de la ville mais bon pour un village de 3500 habitants c est déjà bien. Malgré que ma fille disait que c etait pas trop un feu d artifice. Ensuite, retour sur la place où ce tenait le bal. Evidemment, personne ne voulait rester. Alors nous sommes rentrés. Un bordel monstre il y avait chez moi, j étais dégouté de voir ma maison dans un état pareil. Mal de crane, fatiguée, sans nouvelle, trop fait la folle donc mal aux jambes, je partis me coucher.
Les invités sont partis ce matin. Rangement, nettoyage, bref, la routine revient...
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