 Journal public |
|
| |
28 octobre page publique
Le vent est frais se matin, te laisser un frisson te traverser tout ton corps me laissant rappeler la formidable sensation d une caresse qui me frole ma colonne vertébrale.
La fraicheur te donne plein d élan, et me laisse penser à la chaleur de ton corps.
J aime à paresser sous ma couette et m imaginer à tes cotés. J aime m inventer tes caresses qui continueraient mon rêve.
J aime deviner tes gestes que tu aurais envers moi, le gout de tes lèvres, l odeur de ton corps. J aime plonger en ces heures perdues dans cet amour défendu. Je laisse divaguer mon esprit afin d essayer de croire qu un jour je verrai la lueur de tes yeux.
|