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Je ne peux croire en vos mensonges, Tous, vous êtes des lâches Je n en peux plus, Je n en veux plus Savez-vous combien de larmes, Chaque jour coulent pour vous ? Savez-vous combien de nœuds dans la gorge Se sont formés, Juste parce qu'on vous a refusé Mais vous vous en foutez Votre fierté reste à jamais Et vous ne savez combien vous pouvez écœurer Désolée de ces mots bâclés, Désolée de ces simplicités Marre de se faire jeter Ou ignorée dans les jours qui suivent Tout simplement parce que vous ne voulez écouter Laisser son cœur se confier Et aborder des sujets Ni son cul, ni sa queue commander Adultes vous êtes, assumer ! T'aurais pas du me blaser Et t'enfuir quand je voulais te parler Et que je ne pouvais me passer De tes mots endiablés et enflammés Seulement un jour j'ai refusé Et depuis tu t'es retourné vers elle Plus douée Mieux gaulée Le jargon des cités Il paraît Plus branchée Plus accessible, Plus docile Puis après une nuit docile T'as trouvé nul au lit Alors elle t'a jeté En signant cette cicatrice Peu importe de toute façon D'autres tomberont Dans son jeu, Dans ses griffes, Et elle lui dira Comme elle t'a dit : "ne me laisse pas, je t'aime de tout mon être" "jamais je n ai ressenti ça avec un autre" tu es extraordinaire moi, campagnarde, tu me poignardes un mot tu pars, un mot tu me laisses amère, vide sans détour, ni recours, et tu t'en fous je sais plus j en peux plus j en veux plus
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