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le 31 janvier 2005 page publique
Je ne pensais pas te relire un jour, pour moi le temps n'avait plus d'importance, le temps est devenu mon ennemi, la solitude mon amie, une amie discrète, sans histoire, toujours présente. mes matins n'étaient pas aussi beau qu'un coucher de soleil en Camargue, mes journées sont longues et fatiguantes. Le chagrin s'installe un jour dans ton salon, il se sent bien, il reste et on l'entretien même pas, seule dans un coin remplie de poussière, on l'oublie presque comme une plante, il se déssèche, s'étiole et ensuite on le jette. Le malheur des uns fait souvent le bonheur des autres, c'est connu mais qu'est-ce que le bonheur ?? je ne connais pas bien ce mot, il attend sans doute dans le pré derrière ma maison, je comprends aisément ton attitude vis à vis de moi, mon mensonge impardonnable, le mal que je t'ai fait et cette honte qui t'habites!!! pourquoi?
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