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L'espoir est un cochon qui mange le pain de l'âme. Denis Vanier (poète québécois)
Le cochon est un animal plutôt gentil et généreux, parce qu’il le vaut bien, on le surnomme vulgairement « porc », lorsqu’il se trouve en côtelette dans notre assiette, l’homme l’engraisse volontiers pour son propre garde manger, Selon l'adage bien connu de Brillat-savarin, « tout est bon dans le cochon »
Le cochon donne tout, il part du principe « tout ou rien » alors il reste généreux jusqu’au bout, pas rancunier mon cochon !!! Alors il fait don gracieusement de sa graisse, du saindoux copieusement employé en cuisine, par les ménagères de moins de 50 ans. Ses soies finiront au bout d’une manche en bois, petit objet appelé « pinceaux » (coûtant la peau du c...), Sa peau fournit un cuir utilisé pour la confection de vêtements, de chaussures et d'articles de maroquinerie variés. Je n’ai pas encore vus un fabricant apposé sur ses articles « cuir de cochon », ça risque de faire chuter les ventes, à croire !! Mais toujours est-il qu’une question me brûle les lèvres : profitons-nous tous d’un bout de la peau du cochon ? Oui, bien sûr et maintenant on est tous au courant.
Là ou sont les hommes, y’a des cochons, en Périgord ou ailleurs Le cochon est exploité pour son flair dans le déterrages des truffes (coûtant la peau du c...). Il arrive quelquefois, mais rarement, qu’il devient animal de compagnie, il n’aime pas la solitude, il aime la communication naf naf ! La propreté c’est sa priorité et ça le déplairait pas de se rouler dans la boue avec sa copine Peggy, le temps d’un bain de boue.
Le cochon a des affinités proches de l’homme (vous aviez un doute ? pas moi naf), ceci explique cela : médicalement parlant, la médecine n’hésite plus, on fait souvent appel a lui pour des applications thérapeutiques : chirurgie cardiaque, production d'insuline, héparine contre l'hypertension, peau de porc pour le traitement des grands brûlés, etc.. On est tous complice
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