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ouin ouin ouin 02/06/03 page publique
Je crois que si je pouvais j’enverrai un texte par jour mais voilà …du coup quand je peux le faire je suis un peu découragée par la somme de choses à raconter. Il faut que je me résolve à ne pas tout raconter, ce qui est sans doute bien mieux en plus pour garder l’anonymat.
Je viens donc de passer cinq jour chez mes parents. Là -bas il y avait bien sûr mon petit frère Arthur, ma sœur Flora et son mari Colin, ainsi que leur bébé Amélie. Elle a 4 mois et demi et c’est la plus belle petite fille du monde (si si je vous jure ! !). J’ai aussi vu mon frère Pol et sa copine Eve qui sont passés le jeudi.
J’ai retrouvé mes deux copines de toujours (presque) : Flavie et Mélanie. Je les ai rencontrées au lycée, c’est donc de « vieilles » amies maintenant. On s’est retrouvées autour d’un feu de camp avec leurs copains et maris, leurs frères et une copine de Mélanie. Ca fait vraiment du bien. Flavie paraît toute chétive, elle est maigrelette et très introvertie. Pourtant vendredi c'était un des bons jours où elle se lâche vraiment (enfin pas trop quand même…).Alors j’ai retrouvé Flavie comme on l’aime, joyeuse, fofolle, à l’écoute des autres, volontaire pour parler où pour s’amuser « comme elle était en deuxième année de fac » (selon Mélanie), mais ça je ne l’ai pas vu, ce n’était pas très très gai entre elles et moi à cette époque là .
Mélanie est plus expansive et surtout beaucoup plus chaleureuse. Elle a toujours le sourire aux lèvres. Un de ces sourires qui découvre toutes les dents et qui vous donne envie de suivre la personne où elle veut parce que de toutes façons avec un sourire pareil elle ne peut pas vous faire de mal, c’est pas possible.
Mais voilà , je les ai quittées pour la énième fois et j’ai pleuré dans la voiture au retour, comme d’habitude. En fait je me rends pas trop compte qu’elles me manquent mais quand je les revois c’est terrible, je suis affreusement frustrée de ne pas en profiter plus et plus longtemps.
Voilà voilà voilà voilà , la vie a repris, je suis repartie, et me revoilà dans ma classe, avec mes gamins qui en ont ras-le-bol de l’école, qui veulent arriver aux vacances.
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