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Rêve éveillé (Mai 2003) page publique
Une fois de plus me voilà désoeuvré, allongé sur l'herbe, le murmure lointain d'un ruisseau enchante mon ouillie.Mon corps reste inerte mais mon éspris s'évade :je songe secrettement à ce que serait ma vie en Ta compagnie: tout ne serait que calme, tendresse et sérénité.La douce caresse du vent sur ma nuque me plonge un peu plus encore dans ce rêve éveillé. Il me semble entendre au loin le son mélodieu de Ta céleste voix. Je m'imagine passant ma main dans Ta chevelure soyeuse, éfleurant tendrement Ton visage, Ta nuque, goutant à ta peau laiteuse.
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