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Souvenirs (Juillet 2003) page publique
Tu me manques terriblement, chaque jour je souffre plus encor de ne pas Te voir. Je ne peux m'enpecher de repencer a cette brumeuse et morne matinée: comme a mon habitude je T'épiais, subjugué par ton intarissable beauté. Pourtan, quelquechose avait changé sur Ton visage: je ne retrouvais plus cette gaité, cette joie de vivre... Tes yeux figés fixaient le vide et je pouvais alors lire en Ton regard plus de tristesse que je ne pourais jamais en suporter, je Te trouvais cependant plus atandrissante que jamais, si Tu savais comme la mélancolie te rend belle.Je vis une larme perler sur Ta joue, je sentis alors en moi mon coeur se soulever.A ce moment précis mon unique désir était de pouvoir faconner l'univers à ma guise pour qu'il ne Te fasse plus jamais souffrir, corriger ce monde imparfait pour Te faire connaitre le bonheur éternel.Je ne pouvais hélas concrétiser ce rêve utopique.En Te voyant ainsi je dus me retenir de te prendre dans mes bras pour te réconforter, je dus me contenter de Te demander si tout allait bien.Je Te vis allor ésquisser un sourrire pour me dissimuler Ta détresse; ce sourrire radieux réchaufa mon ame toute entière.Je ne saurais cependant peut être jamais ce qui ce matin la T'avais rendue si triste.
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