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mon journal intime Journal intime créé par julia 16 ans

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Ce journal est partiellement publique
Journal public


Préface
 ah l'amour!
 y'a toujours un hic
 problème resolu
 ce que j'aime
sauver une vie
 ya toujours un problème
 que du bonheur!
 bénédiction
 histoires de coeur...
10   première épreuve
11  --------------
12   nouveaux amis
13   mannequinat
14   suite
sauver une vie      page publique

Ca y est l'été arrive, vivant en bord de mer, je le ressent d'autant plus, les sorties à la plage sont de plus en plus fréquentes, bronzette, baignade, surf, matage, ça c'est la vraie vie! Et oui on mate, je sais je suis prise mais regarder n'est pas tromper. Non l'été c'est incontestablement ma saison favorite. Avec Jérémy c'est toujours l'amour fou et je lme découvre un peu plus tous les jours, et j'adore ce que je découvre. J'ai aussi découvert qu'il était bati comme un dieu, je
peux vous dire que j'en profite.
Enfin bon je vais quand même vous raconter mon histoire,
hier je suis allée surfer pour m'entrainer (pour une compete que j'ai dans une semaine et qui me fait vachement stresser, c'est la première fois que je vais représenter ma marque sponsor Roxy, enfin bon...) j'étais donc dans l'eau, y'avait de bonne vagues, et là j'ai vu une petite fille qui se débattait ds l'eau, j'ai vite compris qu'elle se noyait et là j'ai foncer heureusement que j'avais ma planche sinon je serais pas arrivée à temps, j'avais vraiment la trouille, je sentais des courants glacés parcourir mon corps, j'avais l'impression qu'il y avait des kilomètre entr emoi et elle mais arrivée à elle je l'ai mise sur ma planche et l'ai apportée au bord, et on a pu la ranimer, j'avais des frissons. Les parents étaient vraiment reconnaissants, ils ne savaient pas comment me remercier, ils voulaient me donner de l'argent, me prenaient ds leur bras, je leur ai dit que c'était normal et que je ne demandais rien en retour, que rien que le fait d'avoir sauver la vir de leur fille était un immense cadeau. La mère pleurait et moi aussi mais on ne voyait pas car mon visage était mouillé par l'eau de mer. Ils m'offrirent une gauffre, nous discutâmes un peu, et ils me promirent de venir me voir pour la compete qui faisait tant peur. C'était ce qu'ils pouvaient me donner de mieux. Et je me disais qu'après ça, cette compete ne pouvais plus me faire peur.