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Je pense donc Je suis ; Les reflexions d'une maltaise Journal intime créé par Energie

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Ce journal est partiellement publique
Journal public


Préface
 L'inconscient
 LÂ’insĂ©curitĂ©
 La mort
 Les examens
 La respiration
 En boite
 Les religions
 QuÂ’est-ce ?
 La foi
10   Apathie totale
11  La rĂ©ponse
12   Ma vie Ă  Nancy
13   Pourquoi?
14   Le trou du cul
15   Une minute
16   Malheur
17   Ma Soeur
18   Rage
La rĂ©ponse      page publique

Si vous n’avez point deviné ce que Claude Simon décrivait dans le texte que j’ai recopié l’autre fois, je vous donne ici la réponse. Là, Simon décrivait le sexe d’une femme. Assez intéressant comme description ne trouvez-vous ? Je devais tout d’abord lire des livres de critiques, afin de savoir qu’il parlait effectivement du sexe de la femme. Sinon, en ce moment, je n’écris pas trop car je ne réussis pas tout le temps à entrer dans le site et vu que j’ai les examens, je n’ai pas trop le temps. Pourtant, j’écris là car j’ai voulu parler du temps qui, quelques fois, agit comme une sorte de cure. Cure ? vous dites. Eh oui, c’est vrai que dans la plupart de temps, on craint le temps car il nous vieillit. Pourtant, pour moi, surtout pendant cette année, plus le temps coulait et plus j’étais contente. Je voulais que cette année universitaire passe vite dans le but de savoir si j’aurai ma licence, et pour savoir ou j’irai en Septembre, si je resterai à Malte, ou si je viendrai en France ou si j’irai en Angleterre. Là je pense que vous ne comprenez rien car je n’ai jamais rien dit de ma vie. Bon, j’ai un copain français depuis une année et demie et je le vois que trois fois par année. Une relation à longue distance est très dure, croyait moi, mais avec ce garçon, j’ai réussit à établir une relation assez sérieuse malgré la distance qui nous sépare. En vue de cela, j’aimerai aller en France l’année prochaine pour pouvoir être avec lui une fois pour toute. Après la licence, je veux faire des études d’Interprétariat car j’ai toujours été passionnée par les langues. Ainsi, je me suis inscrit à l’Université de Strasbourg et à l’Université de Westminster à Londres, vu que celle à Westminster est la meilleure pour l’Interprétariat. Bon plus le temps passe, plus cela me rapproche du fait de découvrir si les écoles m’ont choisit ou non et si je serai, dans l’avenir, avec ma famille à Malte, avec mon copain, en France, ou seule en Angleterre. J’ai hâte de savoir car je n’aime pas ne pas savoir ce qui va se passer dans l’avenir. Je continuerai cette histoire, qui décrit une peu la quintessence de ma vie, la prochaine fois. Bisous