JOURNAUX PUBLICS   JOURNAUX COLLECTIFS   MON PROFIL

? 


De Chenille à Papillon Journal intime créé par Eny

PLACER UN MARQUE PAGE | AJOUTER LE CONTACT AUX FAVORIS |
Ce journal est partiellement publique
Journal public


Préface
 Pourquoi
--------------
--------------
--------------
--------------
--------------
--------------
 L'indifférence
--------------
10  --------------
11  --------------
12  --------------
13  --------------
14  --------------
15  --------------
16  --------------
17  --------------
18  --------------
19  --------------
20  --------------
21  --------------
22  --------------
23  --------------
24  --------------
25   j'ai mal
26  --------------
27   Parle moi
28  la tendresse
29  --------------
30   Phil
31   m'endormir
32   suite
33  --------------
34   seule
35  --------------
36   cara le 14/5/2003
37   kara 15/05/2003
38   quelques mots
39   La fenêtre.....
40   Philou: Le gage
41  --------------
42   DUO
43  --------------
44  --------------
45  --------------
46   UNE FLEUR
47  --------------
48   un cri
49   Tendre Cara
50   Nouvel ange
51   Pensées
52   Merci Papa
53   le 18/1/2004
54  --------------
55  --------------
56  --------------
57  --------------
58  --------------
59  --------------
60   nuits
61  --------------
62   le mariage
63  --------------
64  --------------
65  --------------
66  --------------
67   seule 30.06.2004
la tendresse      page publique

La tendresse / Bourvil

On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas

On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Etre inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question

Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment

Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien... on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long

Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien

Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n'est plus qu'un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D'un cœur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n'irait pas plus loin

Un enfant vous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l'amour
Règne l'amour
Jusqu'à la fin des jours