La colère continue à me bouffer...je suis gonflée, mon estomac est acide....Je regardais un épisode des sopranos ou le parrain dans un situation très difficile essayait de faire comprendre à son fifils dépressif que l'heure n'était plus aux lamentation nombrilesque mais à celle de réactions plus adaptées à la survie (en effet la famille avait un horde de tueurs aux trousses) et que fasse à l'inertie du dit fifils sa nature mafieuse et violent reprenant le dessus il attrape l'oiseau par les pattes et le catapulte hors du lit et contre le mur...J'ai été saisie d'une jubilation intense par procuration pour ce geste qui n'a jamais été esquissé par son père (lui par conviction profonde), moi par incapacité (l'oiseau étant plus costaud et plus leste que moi....)Ce qui nous fait jouir passé la cinquantaine....La colère me bouffe et me détruit moi, le comble