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22 novembre 2002 page publique
Ya des journées comme ca oû on pense à soi, on s'appitoit sur notre sort, et j'ai pensé au fait de la vie. La vie nous fait famais de cadeau sauf que c'est à nous d'y voir...Je pensais à mon enfance. L'inceste par le chum de ma mère, les attouchements par le frère de mon père, pourquoi ma mère m'en veut à cause de ca et en plus elle se valorise en me rabaissant comme d'habitude. Regarde aujourd'hui, elle a téléphoné, elle m'a dit que mon cousin Yannick se tenait avec mon cousin Serge, elle m'a demandé si j'avais des nouvelles de Serge, j'ai dis non, elle me dit que mon cousin voulait des nouvelles de Mélanie. Ca me fait chier qu'elle me dise ca parce que je l'ai entendu dans sa voie sarcastique comme si elle me disait, et toi, il ne veut pas de nouvelles. Je vais te réveller un secret, lors d'une réunion de famille chez ma grand-mère, on s'est dit que chacun va essayer d'en avoir des nouvelles, moi en ce qui me concerne, je ne veux pas la voir. Mon père s'inquiète à propos de ma soeur, et le plus de nouvelles d'elle lui fait du bien, il est en dépression lui aussi. Je suis sure que le temps va arranger les choses, enfin rien ne change mais le temps fait oublier en surface les problèmes et les enfoui. Ma pensée de la journée vient d'une citation d'Agatha Christie : Ce n'est pas parce qu'un problème n'a pas été résolu qu'il est impossible à résoudre.
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