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Parce que c'est nous page publique
Ce que j'ai écris sur ce qui s'est passé la nuit ou tout a basculé:
14 Avril 1999... Il pleut toujours dehors et le ciel est gris, pareil à mon humeur...Il pleurt sur la ville comme il pleut sur mon coeur...J'ai décidé de raconter ce qu'il s'est passé cette nuit là , j'ai essayé de l'enfouir...d'oublier...je ne peux pas...ça m'obsède. J'ai décidé d'écrire parce qu'il faut que j'éxorcise. I remember it all...
(NDR: Contexte- Greg prétend avoir trop bu et fait exprés de s'endormir sur mon lit, Agnès et mathieu dorment sur un matelas par terre).
La lumière s'est éteint et je lui tournais le dos. greg a passé son bras autour de ma taille et m'a plaquée contre lui, il a alors passé la main sous mon tee-shirt et a commencé à me caresser la poitrine. J'ai pris son poignet et essayé d'enlever sa main mais avec ma force de moustique, je n'ai pas réussi. Agnès s'est levée pour aller au toilette et je lui ai dit d'enlever sa main, il l'a fait. Quand Agnès s'est recouchée, il a voulu recommencer mais je ne l'ai pas laissé faire, il m'a pris le poignet et m'a tenue si fort que je ne pouvais plus bouger du tout, il a glissé son autre main sous mon tee-shirt et a recommencé. je me suis tournée vers lui pour qu'il arrête, il ne m'a pas laissé le temps de faire quoi que ce soit, il a glissé ses doigts dans mes cheveux et sa bouche est descendue le long de mon cou. il me mordait, j'ai perdu les pédales, j'en ai afit autant...j'ai redressé la tête, j'ai hésité un instant et je l'ai embrassé, Greg a tourné la tête plus vers moi, j'ai recommencé et là on a disjoncté tous les deux. Ses baisers étaient de plus en plus fougueux, je me suis reculée et je lui ai dis d'arrêter. Sa main a glissé dans mes cheveux de manière à immobilser ma tête et il m'a embrassée encore, sa bouche est redescendue dans mon cou, il me mordait, pour ne pas perdre les pédales, j'en ai fait autant. je lui ai encore demandé d'arrêter, il n'en a pas tenu compte et je lui ai dis que s'il n'arrêtait pas, je crierai. Il s'est immobilisé, m'a regardé, a de nouveau saisi ma tête et m'a embrassée, il s'est plaqué encore plus contre moi, sa main est descendue le long de ma jambe, il l'a mise au dessus des siennes, il avait le souffle court, et comme il ne faisait pas complètement nuit je pouvais voir ses yeux et l'expression de son visage. j'ai compris qu'il n'arrêterait pas, j'ai essayé une autre tactique: " Greg, je te le demande comme un service, arrête s'il te plait". il a sourit, regardé mon corps ( la couette avait glissée depuis longtemps), m'a regardée droit dans les yeux et m'a dit non d'un signe de tête. Il a pris me main, l'a glissée sous son tee-shirt pour la poser sur sa poitrine. j'ai essayé de l'enlever mais il me tenait trés fort, je l'ai caressé doucement pour qu'il me lache et quand il m'a lachée j'ai retiré ma main en essayant de me retourner pour partir de l'autre côté du lit, il m'a attrapé le poignet, m'a embrassé et a ghuidé ma main( là je censure). Il s'est allongé sur moi, m'a prise par les cheveux et m'a encore embrassée sur tout le visage, dans le cou, j'en ai fait autant parce qu'à ce moment là , je ne pouvais plus rien faire contre et que je ne pouvais plus ênsre non plus, j'ai cédé. Il a posé son front contre le mien, m'a regardée dans les yeux et m'a encore embrassé. ma main a glissé le long de son dos, je lui mmordait les épaules, il a recommencé à m'embrasser dans le cou ... Censure...J'ai retrouvé mes esprits. j'ai réalisé ce qui venait de se passer, je m'en suis voulu à en crever plus qu'à lui. je ne voulais pas m'endormir dans ses bras, je voulais qu'il me laisse, je voulais qu'il parte de l'autre côté du lit. je lui ai dit "bouge". il s'est redressé et a roulé à côté de moi. je me suis tournée de l'autre côté, au bord du lit. 30 secondes aprés, j'ai vu sa main s'agiter au dessus de ma tête et je suis allée contre lui quand m^me, j'ai posé ma tête sur son épaule, toujours en lui tournant le dos et j'ai attendu qu'il s'endorme pour retourner au bord du lit. j'ai eu un mal fou à m'endormir parce que j'étais folle e rage contre moi. Je me suis réveillée quand j'ai voulu allonger mes jambes et que je suis tombée sur les siennes, j'ai ticqué et ça l'a reveillé. J'ai fait semblant de dormir, il s'est levé, s'est habillé, a marqué un temps d'arret à la porte, a murmuré "terrible..?"et il est parti.
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