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Péripéties d'une petite Sanaryenne Journal intime créé par la.m.

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Ce journal est partiellement publique
Journal public


Préface
 En cette journĂ©e d'Ă©tĂ©
 Mini connerie n°1
Lettre aux polititiens
 Du fond de ma mĂ©lancolie...
 Des vacances trop remplies
 Cauchemars Ă  rĂ©pĂ©titons
 Du repos !
 Je t'aime !
--------------
10   Nuit douce nuit...
11   Jeunesse mon amie !
12   Hello !
13   cocnnerie n°2
14   Mes zamours !
15   salut ! sa fĂ© 1 bail !
16   je t'aime!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
17   cher journal
18   SUPER GRAVE IMPORTANT
19   week end chez Laure
20   CHER JOURNAL
21   moi pauvre moi
22   J Y
23   cher journal bis et re bis
24   Laure (dĂ©dicace)
25   laure, samedis en fiesta et confĂŞtis
26   Brice
27   Page de Sandra
28   ennuie
29   La mort des Pintades & tralala
30   Belle journĂ©e, n'est-ce pas ?
31   La vie prend une autre tournure
32   Moi plus savoir
33    DĂ©bats & avenir
34   J'ai grandi...
35   Coup de folie
36   confession : mon passĂ©
Lettre aux polititiens      page publique

Tous ceux qui font de la discrimination envers autrui sont aussi lâches qu’intolérants, or, pour ce faire respecter il faut d’abord tolérer ; on comprend mieux la haine de certains envers le pen. Nicola d’Indochine à fait deux beaux Fuck à bush, je le soutien pleinement et fait de même à ceux qui ont des idées à deux balles, remplies de haine qui ne tiennent pas la route (exemple le pen) et à ceux qui enlèvent injustement des vies alors qui ne valent même pas la leur (bush). J’ai pensé juste de ne mettre aucune majuscule à ces deux noms car ils ne le valent pas et car même mon ordinateur n’à pas reconnu le fait de ne pas en mettre à bush comme une erreur, je le félicite. Celui-ci ne reconnaît pas le pen même avec une majuscule, il me propose d’autres mots, parmi ceux-là le verbe « pend » qui, transformé en nom donne pendaison, un mot très utilisé dans les rêves de le pen. Il est certainement suicidaire de parler ainsi de ces affreux personnages, mais ma foi, j’ai lu que le silence est la plus grande persécution et que jamais les saints ne se sont tus. Je ne veut pas essayer de devenir une sainte, ni faire de tout bien, je veut juste vous dire à quel point on passe pour des cons. J’espère juste pour nous que l’enfer n’existe pas sinon on irai tous y vivre, en charmante compagnie avec beaucoup hommes politiques, la grande majorité, plus que vous ne le pensez sûrement. Pour finir, je voulais juste vous dire merde ; considérez-le comme un « bonne chance », ou au sens propre, tout dépend de vos prétentions.
Cordialement,
Sandra FORLINI