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Du fond de ma mélancolie... page publique
POUR PAPAlino QUI EST EN ITALIE Du fond de ma mélancolie, comme un poignard viens se planter en moi, tu me manques, Papa... Tu vois ces larmes sur mes joues, je te les envoie, elles ressemblent à nos promesses d'espoir. Papa, de quel droit nous à -ton séparés ? Dis, de quel droit? Tu verra Papa, on t'a détruit, mais je te vengerais, c'est promis ! Je te rendrai fier, oh oui, très fier... Je prend tout sur moi- même, mais là , tu verra je te vengerais. Papalino, juste un câlin, un mot, je peut t'appeller que si rarement, tu sais, j'ai appris beaucoup ces derniers temps, je suis devenue folle. Claire et moi on à voulu fuger, nous n'avons nulle part ou aller, tu sais, dans cette histoire, je ne saurais jamais la vérité, je te jure que j'aime Maman comme ma mère, que je me tuerais pour vous 3. Tout ce que j'ai vu, entendu, quand tu criais qu'on oublierais jamais ces sènes dans le salle de bain : t'avais raison, J'oublierais jamais. J'ai toujours fait croire aux psy que j'était un ètre dérangé fou du sang, cela ne m'à apporté que des anti-dépresseurs. Papa, je t'aime ! Tu es si sain, si sobre, Papa, ma revanche je la prendrais... Je te quitte pour ne pas trop penser combien tu me manques, des crises de folie en plus de celles d'insomnies pourraient ressurgir. Papa, avant de te quitter, sache que j'ai pensé à toi toute la nuit, tu sais, je n'ai encore pas dormi...
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