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Débats & avenir  page publique
Kikoo,
La question de mon avenir me tourmente et je ne sait plus que faire pour devenir mon moi le plus profond, pour être cette fille que mon étrange personnalitée se veut de devenir. Je songe à une carière de journalisme, quoi qu'il en soit, ma vie poussière va dépendre du choix que je vais faire maintenant, dois-je prendre les chemins de traverse et faire une troisième langue pour devenir reporter et voyager, témoignant des joies et dse horreurs de ce monde ? Dois-je me fondre dans la société et accepter le boulot de prof comme une mission, travaillant modestement pour obtenir mon salaire oisif et médiocre en plus de supporter des affreux gamins qui ne sont pas là pour travailler, mais qui ont cette étincelle dans le coeur, cette joie de vivre ou au contraire cette monotonie qui nous donne envie de les aider, moi ne plus savoir, message codé, crypté, un avenir qui dépend, volonté, vie à méditer, mon passé poussière, mon avenir mystère...
La voie de l'élite m'attire et me plait énnormément, la loi du meilleur, qui ne sera pas moi, mais le fait d'exploiter 100 % de se que je peux faire me tarde, je tourne en rond, je m'ennuie, dans ce collège ou j'apprend des semblants de leçons, je veux être aux études suppérieures, laisser derrière moi la médiocrité de nos faiblesse et alterner sans relâche Paris-campagne, travail titanesque-instants de repos ou à composer des textes tels que ceux-ci. Certes, je fait beaucoup de fautes, mais ce n'est rien, les tournures de phrases sont bien plus attrayantes avec leurs syllalbes provocatrices et aguicheuses, elle se prosternent devant l'insolence et fuient le lecteur des yeux, ces tournurs dont il faut remonter une dizaine de lignes plus haut pour en comprendre au moins le sens, le vacabulaire étant trop ambigu et trop pointu pour nos esprits simplistes, qui se nourissent de TF1 ou de débilitée dans le genre.
Jadis, je croyais de toute mon innocence et de toute ma bêtise insolente que j'était une sourdouée, maintenant, avec un peu plus de recul, je sais que je suis simplement habituée à analyser, remettre en question et parler avec un minimum de vocabulaire, tout le monde - a condition de s'entrainer de temps en temps - pourrait en faire autant. Loin du niveau de prétention de Sir Sartre - désolée de parler ainsi et de critiquer à tout va cet auteur - mais tout de même essayant de se rassurer en pensant qu'en compensement au physique, il réside ma fois, un mental persuasif. Je ne suis pas moche, ni grosse, mais je suis parfois, comme toute adolescente, douteuse de certaines de mes qualités et je veux maintenant, travailler, exploiter 100 % de mes capacitées, je voudrait savoir où je suis capable d'aller, où les élites vont me terrasser, où mon envie d'adhérer au monde des adultes me perdra...
Folle, bizare, conne, mes prétendus ennemis en passent, ils se moquent de mon rire, un rire est toujojurs ridicule, comme toute manifestation profonde de joie, d'ailleurs. Prétendus, parceque moi, je ne demande qu'à les oublier, au collège, je connait des gens adorables et j'ai mes amies, dont une géniale, Laure, elle à un potentiel impressionnant, elle est adorable, des fois exaspérante à croire trop à la franchise ou à des choses ainsi. Moi, je parle parfois comme une vieille, lasse de tout, à rire de la futilité des idées des gens et de leur envies de tout révolutioner. Enfin, ça s'était surtout avant, maintenant, je me révolte et me spécialise dans les débats... Laure fait de la boxe, dit que j'ai un don d'écriture, j'aimerais ! Enfait, j'ai lu dans siences et vie junior que les dons n'existaient pas, que ce qui éxistait c'était l'exploitation de notre potentiel, et Laure ne se sert pas de se potentiel et obtient, en ne lisant jamais ses cours 15,8 de moyenne, terrassant agréablement et royalement, le petit lèche botte de Rémi Chaillot, spécialiste des critiques injustes et blessantes, personne n'y échappe, je suis petit boudin à cause de mes 4 kgs en trop, médiocre, le niveau...
Ainsi, pour le blesser, dans un cas de légitime défence, en pleine classe, au ableau, il à dit bien fort "ma grosse" je l'ai regardé et ai annoncé le plus sereinement possible " lèche cul frusté à la tête en champignon " (ses cheveux sont au bol) A ma grande surprise, aucune moquerie envers moi, juste quelques rires étouffés et des egards pour Rémi, la revanche de la littéraire ! Je ne suis pas lèche botte, je ne montre pas mon amour pour apprendre, travailler, s'acharner, je me tait, on menvoie des pics, j'ai compris maintenant, j'envoie des pieux ! Plus de gentillesse gratuite face à la méchanceté au même tarif, non, qu'ils balayent le plancher, car j'ai maintenant un sens de la réplique ultra développé, grâce aux débats, chaqun son terrain, le mien la communication, le leur - je ne sait quoi qui peut être génial - les autres sont un grand panier, une salade varirée mélangeant les gens à la volontée de fer et les sales imbéciles qui s'étouffent de jalousie et se consument de méchanceté. Moi, Sandra-Lu, webmistress passionnée et curieuse, je déclare solanellement admirer : Nicola Sirkis (Indochine), Laure mon amie, Claire ma grande soeur, ma prof de français, d'histoire, Lucie Aubrac, mon père, les gens qui sont très gentils - trop serait de la bêtise -, ceux qui ont de la volonté, ou les terrassés du peuple, dont j'admire leur courage et la diversité des sentiments qui doivent les composer...
Voici mes sites : http://forum.alloforum.com/?id=1671 ; http://forum.alloforum.com/?id=2070
Bien à vous,
Sandra-Lu
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