 Journal public |
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BungleÂ’s Diary
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Etrange fin de journée
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Sonia ou l'éternelle absence
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Bye bye Anna
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6
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SEA
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7
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SEX
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8
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& SUN
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9
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Le trauma de Sonia
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Autobiographie misanthropique ?
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Femmes je vous aime
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Anna, ma collègue amante
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Erika j’ai trouvé !
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Sonia ou l'incertitude
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Le pianiste
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temps libre Vs travail
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Sonia : end of the story ?
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JÂ’aime pas les lundi, quoique.
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C'est la fĂŞte
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20
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Top Five
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Ma première partouze
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Pour me faire pardonner le chapitre précédent (Part. I)
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Pour me faire pardonner le chapitre précédent (Part. II)
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Amitié homme-femme, mythe ou réalité ?
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25
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QuÂ’est-ce quÂ’un journal ?
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26
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Week-end pluvieux, album radieux
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27
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Zouk machine
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Déclaration de vacances
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29
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Amour, toujours !
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30
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'till death us apart
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31
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Condoléances
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32
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Remerciements
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33
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Chapitre I
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34
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vérité et paradoxe
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35
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Ploum ploum Tralala
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36
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Sombre désir
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Souvenirs d'enfance
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38
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Kill da mouvement
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39
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Médiocrité pornographique
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40
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Rions un peu en attendant la mort
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41
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Do not disturb
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42
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Narcisse
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43
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Antiaméricanisme ?
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44
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Exister ? Mais pour quoi faire exactement ?
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45
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Entre deux maux quel mot choisir ?
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46
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L'aigle noir
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47
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Je suis las...
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48
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Ploum Ploum Tralala, Acte 1, scène 1
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49
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Ploum Ploum Tralala, Acte 1, scène 2
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50
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Ploum Ploum Tralala, Acte 1, scène 3
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51
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Acte 1, scène 4
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52
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Acte 1, scène 4 (suite)
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53
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Pourquoi on écrit ?
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54
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2 mondes
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55
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Ploum Ploum Tralala - chapitre 56.3
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temps libre Vs travail page publique
19/07/03
Bien beau week-end que celui là . Vous avez vu le temps qu’on a eu ?! Putain ça casse les couilles de devoir retrouver le boulot aujourd’hui.
Comme beaucoup j’ai profité du soleil de samedi. Je suis allé chez un pote qui a un jardin et une petite piscine. On était une bonne dizaine avec un programme bien sympathique : soleil, piscine, barbecue, apéritif, oinj et musique. La vie devient belle dans la simplicité.
Un samedi qui n’a fait que confirmer mon aversion pour le travail. Quelle belle escroquerie que le travail. Avez-vous remarquez la propagande que l’on distille dans notre tête dès notre plus jeune âge. On nous dit que le travail est la valeur essentiel de nos vies. Que sans travail il n’y pas d’épanouissement. Que pour vivre heureux il faut travailler. Et je t’en passe. Le travail peut être effectivement épanouissant (la nuance est dans le «peut être») pour peu que l’on exerce une activité épanouissante. Pour 100 boulots de merde combien sont réellement intéressants ? 20, 10, moins ?
Il y a dans tout cela une énorme hypocrisie, on nous vante les mérites du travail (comme si le travail était le seul moyen de fuir l’oisiveté) en occultant toutes les contraintes inhérentes à l’activité professionnelle. Je trouve que ce monde ne tourne pas rond. Alors que de nombreux chômeurs sont en quête perpétuelle de travail, on nous explique qu’il faut que l’on travaille plus d’heures par semaine et plus d’années par vie alors que nous devrions avoir de plus en plus de temps libre (bien plus efficace en terme d’épanouissement si ce temps est bien utilisé) afin de partager le travail avec tous. Naïf ? Sans doute un peu, je n’oublie pas que nous sommes dans une société hautement «manipulente» (le chômage est une fondamentale du système capitaliste, il permet de mettre en place un système coercitif qui évite que le salarié ouvre trop sa gueule – s’il n’est pas content, le chômage sera sa sanction immédiate).
Enfin, tout ça pour dire qu’il a fait beau ce week-end. Et que samedi j’en ai bien profité. Dimanche j’ai vu Sonia et j’en ai bien profité aussi (je te raconte mon dimanche sur la page suivante – A tout de suite…)
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