Réflexions et autres conneries Journal intime créé par bungle PLACER UN MARQUE PAGE | AJOUTER LE CONTACT AUX FAVORIS | Journal public Préface 1   BungleÂ’s Diary 2  -------------- 3   Etrange fin de journĂ©e 4   Sonia ou l'Ă©ternelle absence 5   Bye bye Anna 6   SEA 7   SEX 8   & SUN 9   Le trauma de Sonia 10   Autobiographie misanthropique ? 11   Femmes je vous aime 12   Anna, ma collègue amante 13   Erika jÂ’ai trouvĂ© ! 14   Sonia ou l'incertitude 15   Le pianiste 16   temps libre Vs travail 17   Sonia : end of the story ? 18  JÂ’aime pas les lundi, quoique. 19   C'est la fĂŞte 20   Top Five 21   Ma première partouze 22   Pour me faire pardonner le chapitre prĂ©cĂ©dent (Part. I) 23   Pour me faire pardonner le chapitre prĂ©cĂ©dent (Part. II) 24   AmitiĂ© homme-femme, mythe ou rĂ©alitĂ© ? 25   QuÂ’est-ce quÂ’un journal ? 26   Week-end pluvieux, album radieux 27   Zouk machine 28   DĂ©claration de vacances 29   Amour, toujours ! 30   'till death us apart 31   CondolĂ©ances 32   Remerciements 33   Chapitre I 34   vĂ©ritĂ© et paradoxe 35   Ploum ploum Tralala 36   Sombre dĂ©sir 37   Souvenirs d'enfance 38   Kill da mouvement 39   MĂ©diocritĂ© pornographique 40   Rions un peu en attendant la mort 41   Do not disturb 42   Narcisse 43   AntiamĂ©ricanisme ? 44   Exister ? Mais pour quoi faire exactement ? 45   Entre deux maux quel mot choisir ? 46   L'aigle noir 47   Je suis las... 48   Ploum Ploum Tralala, Acte 1, scène 1 49   Ploum Ploum Tralala, Acte 1, scène 2 50   Ploum Ploum Tralala, Acte 1, scène 3 51   Acte 1, scène 4 52   Acte 1, scène 4 (suite) 53   Pourquoi on Ă©crit ? 54   2 mondes 55   Ploum Ploum Tralala - chapitre 56.3 JÂ’aime pas les lundi, quoique.      page publique 21/07/03 Le lundi cÂ’est soupe Ă  la grimace. Si il y a un jour Ă  supprimer dans la semaine cÂ’est bien celui lĂ . Le lundi tu sais cÂ’est ce jour oĂą pour bien marquer la fin de ton week-end tu es obligĂ© dÂ’aller bosser (pas toi ami lecteur qui est tranquillement en train de profiter de tes vacances alors que tu me lis en sirotant tranquillement ton soda bien frais). Je dois aller bosser alors que jÂ’aurais mille autres choses Ă  faire de plus passionnantes. Oui, je sais, je chipote, il y a des gens bien plus malheureux que moi, mais bon tu connais la nature humaine et tu sais que nos petits soucis du quotidien sont ce quÂ’il y a de plus important au monde voire dans lÂ’univers tout entier puisque cela nous concerne nous personnellement et tu seras dÂ’accord pour dire avec moi que nous sommes chacun Ă  nos yeux la personne la plus essentielle qui existe. Et puis cÂ’est mon journal, si jÂ’ai envie de râler je râle. Donc hier, journĂ©e de boulot bien classique si ce nÂ’est lÂ’arrivĂ©e de sang neuf dans notre petite entreprise (qui ne connaĂ®t pas la crise). Et parmi les nouveaux, il y a Marie. Ca y est il va encore nous gonfler avec ses femmes, te dit-tu ami lecteur avec une pointe dÂ’agacement mal placĂ©e, ne voulant pas te contredire je mÂ’exĂ©cute. Marie a la peau Ă©bène et les yeux malicieux et surtout Marie accepte facilement les invitations pour faire la fĂŞte. Je te raconte le topo. Hier soir, je devais sortir avec David et Thomas que tu connais (Cf. chapitres «SEA», «SEX» et «& SUN ») et Erwan qui est un pote de David et que tout le monde appelle par son nom de famille (sans doute parce que son nom de famille est rigolo, court et quÂ’il sonne bien). Erwan (je ne sais pas si ça sÂ’Ă©crit bien comme ça) devait nous amener Ă  la soirĂ©e Ă©tudiante de son Ă©cole dÂ’ingĂ©nieurs (une fĂŞte Ă©tudiante en plein mois de juillet, cÂ’est plutĂ´t Ă©tonnant mais bon après tout cÂ’est leur fĂŞte, ils font ce quÂ’ils veulent). Donc tout trois sont passĂ©s me prendre Ă  la sortie de mon boulot (vers 21h00). Il restait plus grand monde au boulot, mais il y avait Marie qui finissait de ranger ses affaires. - Tu fais quelques choses ce soir ? - Non, pourquoi ? - Je tÂ’invite Ă  une fĂŞte Et bien tu me croiras si tu le veux mais Marie mÂ’a rĂ©pondu par la positive. On se connaĂ®t Ă  peine (et cÂ’est rien de le dire, on a dĂ» parler 10 minutes Ă  tout casser sur toute la journĂ©e) et elle me dit oui comme ça tout simplement. Y a pas Ă  dire lÂ’avenir appartient aux audacieux. Je te raconte notre soirĂ©e sur la prochaine page parce que lĂ  jÂ’ai faim et que je vais manger. A tout Ă  lÂ’heure.