 Journal public |
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et si la vie n'était pas ce que je pensais page publique
ne me pleure pas je suis là ou finit toute la tristesse oublie les rêves torturants de mes souffrances passées que mon souvenir soit plus radieux que le premier jour du printemps ne me regrette pas aucune réalité ne nous sépare je suis comme autrefois près de ton âme tes tourments m'émeuvent comme par le passé
vis!tu as le devoir de vivre! et si tu sens une force t'envahir source de consolation et de paix alors sache que c'est moi qui,de l'autre monde réponds à l'appel de ton âme douloureuse
et comme on dit la vie fait ce kelle veut mais je ne lui en veux pas mes amis sont là et j'ai confiance en eux je les suivraient n'importe ou ils vont
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