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Pour le plaisir d'écrire page publique
Ecrire pour le plaisir d’écrire. Dans mes rêves d’insomnie je me voyais entrain d’inventer des romans d’écrire des nouvelles.. Des romans inspirés de ma vie personnelle et de ma condition de femme. Et parfois je m’imaginais entrain d’écrire juste pour mettre mes fantasmes, mes malheurs et parfois mes ricaneries sur le papier. Ma fille grandissait, je l’aimais beaucoup.. Mon Mari est si passif, aucun attrait aucun plaisir.. Il est gentille mais pas en tout moment.. Avec sa fille je le sentait tellement égoïste qu’il préfère qu’elle se taise pour qu’il regarde les futilités de la télé.. Il fait froid, Je tousse souvent et j’utilise ventouline la nuit.. Il est loin le temps des amours, le temps des sentiments.. Y a juste l’ennui qui s’installe dans mon cœur avec un frustration qui grandissait de temps à autre. Je ne suis pas faite pour une telle condition.. J’aime bien la vie l’amour le gout des nouvelles choses.. Les regards de foudre les mots dissimulées les sourires suggérant ....les belles chansons, les bougies, la détente et l’entente.. La belle discussions dans les beaux thèmes, les thèmes qui traite l’humain.. Je m’évade de temps à autre dans la lecture d’un roman, et ca me fait du bien… Ca me manque les mots d’amours : force de les pas trouver il faut les inventer..Mais pourquoi puisque ca existe..ca dure pas le temps d’un moment ou on se laisse aller après on s’étonne et on rit et parfois on regrette de se laisser aller, comme s’il s’agissait d’un péché ou d’une défaite.. Se laisser aller pour moi est une force..un plus de savoir quand et avec qui.. Et si on trempait du moment ou de la personne, cela ne doit pas bloquer ce don.. Mon visage, je le sens tellement sérieux qu’il peut donner une expression de dureté ou de hautaineté. Ce sérieux n’est qu’un masque qui dissimule ma timidité, ma frustration et parfois mon indifférence..
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