 Journal public |
|
| |
Folles nuits. Folles journées. page publique
Hier b-gosse(garçon), AA(garçon), Allumeur(garçon), Voisine(fille), Mo(garçon) et Ma soeur(fille) voulions dormir en toile de tente. Finalement les garçons ont dormi chez les Complices et les filles chez Voisine(fille).
Avant hier AA n’a pas arrêté de me caresser la cuisse. J’avais des frissons de partout. Il commence à devenir moins timide. Exemple : AA m’a embrassé en me tenant par les bras puis m’a tout de suite pris la main derrière. Chose que moi-même je ne fais pas.
A une heure du matin, AA me caressait encore la cuisse et j’ignore s’il l’a fait exprès mais il descendait de temps en temps sur mon sexe. Diable que j’ai pu en avoir des frissons. A un moment j’avais ma main sur son genou. Il a posé sa tête dessus. J’ai mis la mienne dans son cou. Diable qu’il sent bon !
A trois heures du matin AA dormait à moitié. Toute la bande et moi-même nous sommes fait surprendre par la mère de Voisine(fille) qui a gueulé : <> Du coup Ma soeur et moi avons mis nos parents au courant de l’affaire et nous avons eu du mal à dormir encore sous les tentes cette nuit.
Hier AA me caressait les jambes en général. Mo(garçon) a mis sa main dans mon short. Moi je descendais la mienne dans son slip. Dès que je touchais ses poils je remontais. AA avait l’air d’aimer. Il ne disait rien, regardait ma main agir et fermait les yeux comme pour se calmer. Chose que j’ai moi-même faite quand il caressait ma jambe. J’ai mis ma tête dans son cou et Mo(garçon) m’a vue. Il a alors dit à AA de continuer. Hier AA, Ma soeur(fille), Voisine(fille), Allumeur(garçon), Mo(garçon) et b-gosse(garçon) et moi sommes allés se baigner avec les parents d’AA et le père de b-gosse(garçon). Diable que j’adore la famille Complices.
Ce matin j’ai embrassé AA puis il est parti chercher quelque chose chez lui. Quand il est revenu je faisais des massages dans le dos à Mo(garçon). Après AA ne voulait plus sortir. J’ai peur que ce soit de ma faute. Je ne vois pas le mal à faire ça à Mo(garçon). J’espère que lui non plus.
|