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Terre de feu page publique
Elle était belle Elle était lasse, mais elle n'était celle qui oubliait le bonheur sagace.
Dans le silence éperdu, elle ne voyait,que le ciel limpide, à travers le carreau fumé,au nues, et ses yeux d'or si humides.
La douceur l'emporte, au grès d'un vent léger, pas loin de La terre de feu, qui voit le coucher de soleil.
Une vie qui émerveille, la beauté d'un arc en ciel, au lointain,sur la péninsule, qui se dessine sur l'océan.
Les reflets d'argent,sur cette eau, ondulent sur les rochers, et le catamaran qui longe la baie, sur une houle qui se divine.
Le bateau du courrier s'endort, sur le minuit,au clair de lune, sur un ciel boréal,fusionnel, il part,mais elle était à son bord.
Sur la soie du soir,elle regarda, les lumières qui s'apaisaient, sur les maisons colorés, qui fermaient fenêtres et volets.
Sur le bord du coeur, le paquebot vogue encore, et la jeune femme s'épuise, à regarder la terre au loin;
Sous la peau noire,de soie blanche, la jeune femme du paquebot s'épuise,, et dans sa chambrée, s'allonge, en pensant qu'elle a tout quitter.
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