 Journal public |
|
| |
Poeme Reve > L'ile du crépuscule page publique
Mes pas s'enfoncent sous un sable d'or, légère et âme divine, au pied d'une dune aux milles carats, et de l'air évaporeux.
Je ne suis transparente, sous une onde qui chavire le premier regard, d'un bateau qui échappe au loin, sous une lune qui dort. .....
Les fumées qui s'emportent aux vent, sur un océan à peine onduleux, et le reflet des cheminées sur cette eau, je me sens transportée,si feux.
Je marche sur sur le grain si fin, avec les milles coquillages diamants, et des palmiers en fleurs, bourgeonnant, et l'océan à mes pieds encore, .....
J'ai senti poser sur moi,son regard émerveillé comme un enfant qu'il est, au milieu de ce nul part qui s'élève, qui s'en va en poudre.
Près de moi,ses yeux me transportent, sur un rêve qui n'en finit pas, ma seule mémoire vit sous ses doigts, par dessus le temps sauvage. .....
Les vagues si fortes,comme des gouttelettes, tombent comme une bruine sur la peau, et d'un hâle si bronze qui ne s'abime, même au son d'une foudre.
Ce n'est pas les Figji sur l'aurore, mais le soir s'installe à petit pas, et sur la dune endormie,avec l'infini, j'ai son coeur comme une image. ....
Et un simple mot,qui me dérive, au bord de ma lèvre qui se gerce encore quand j'ai faim de lui, quand j'ai faim de lui...
As-t-il faim de moi !!!!!!!
|