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Poeme Paris > la bohémmienne de la place du tertre page publique
Souviens , place du tertre, il a tissé la toile, mais il n'y avais qu'un voile, sur le visage endormi, elle marchais de ce pas alerte. Elle était jeune et belle, mais,ce soir,oui,ce soir,il lui chante encore cette ritournelle de son accordéon, si fatigué par le temps elle est revenue, dans la demeure, là-haut, près des corons.
Mais elle n'y sera jamais sur cette place, son tableau,Lautrec , ne la dessine , de sa plume, de ses formes de sa forme , un peu plus de la quarantaine , mais si belle dans ce coeur triste encore qu'importe de son diapason,si elle est ta passion , que reste-t-il de cet amour éloigné, elle,dans dans ce logis si étroit, elle n'y étais , elle n'y sera pas même Montmartre , elle ne verra que le cimetière,, mais pas Pigalle , qui ne lui intéresse pas,non,Pigalle ne l'intéresse.
Elle préfere son moulin Rouge , òu le grand Gabin y a joué;la grande Misstinguet l'a chanté que reste-t-il de ce son amour égaré, elle,qui l'a tant aimé. Elle remonte cette rue,pour retrouver, une chambre délabrée, et s'allongée,en attendant le noir profond. Qu'importe le temps, Qu'importe les saisons.
Mais elle l'a choyé l'a tant aimé ,
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