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Les roses du bonheur page publique
Les rosiers pleurent, et la vie se meurt, de tous les souvenirs oubliés. Les épines en sont fanées.
Elle repense,seule, à une absence si veule, Il est loin d'elle, et lez bouquet,dans le vase où l'eau déborde,si rase, les pétales se fanent comme les feuilles du platane,feuilles jaunissantes,rouge chatoyantes,et la mousse si rousse, qu'il marche sur la mousse.
Elle a mal de le voir partir,de le voir souffrir,sans murmure, et il s'emmure dans le grand bureau , dans sa tour d'ivoire,sans tableaux qu'importe le son du silence,même sa voix est indifférence , sa vie n'est pas l'autre.
Il sort,au pas de la porte,il fait soir si sombre,comme lui, il n'est qu'une ombre, va-t-il revenir,près d'elle, non pas auprès de sa belle, mais de celle qu'il aime.
Sans plus de problème, qu'importe les mots malheureux,mais le savoir heureux,serait le plus important pour moi dans son grand coeur" d'adolescent".
Il lui apporte un autre bouquet, de roses,sans épines, pour lui dire qu'il l'aimait , comme à vingt ans, en jeune marié.
Pour un grand ami que j'aime
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