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www.Poulbot dragueur .Loupiot frimeur@ neuf. .fr page publique
Mon gai poulbot revit encore plus ils s'ennuie, plus il sourit et plus il dort. Il était là, sur une marche, assis près d'un porche de fleurs , sur ma butte , sur Montmartre en sis . Le frêle Yvanovich, son prénom, si gai un vieux pseudo, pris au hâzard d'un jour , pour le vieux luron proche de son geai.
L' oiselle, vit mon loupiot, qui courait ,vite ,avec les vieux journaux de Volinsky mon père dessinateur , de son amarrage sans bitte . Il voguait de sa plume grise, et de sa gomme, quand Montmartre se levait le matin d'un aurore si frais ,de mon jeune Amant, Mon homme.. iI voguait sur le vieux cahier sans peur près d'une fenêtre , et d'un vieil If sous la houlette ,proche d'un manant sans heurs. Mon jeune Amant parisien ne dormait pas, c' était lui, l'homme qui aimait Yaele encore , depuis quarante années ,et de ses grand pas.
Grand maman n'en était plus là, si grise de son vieil alcool ,pas loin de Mon palais Bourbon pour le bonheur d'un VALANOIS et de son sis. Les dés n' étaient pas jetés, ,mais Moi, Yaele quand mes yeux pleuraient d'un jeune amant passionné les yeux marrons qui m'ont souris sans ailes . La vie est incertaine de mon Montmartre bleu les Esses crochetés sur la veille patère en bois de Montmartre endormi d'un matin azurien d' eux.
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