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moi la tite cossone page publique
(16/10/03, au bord d'une piscine, quelque part dans le sud de la France...)
Je n'ai pas cessĂ© de penser Ă lui. La frĂ©quence de ces pensĂ©es (inavouables pour la plupart...) ne se compte mĂȘme plus en jours mais en heures, voir en minutes.
Y'a des jeunes Ă 10 mĂštres de moi qui ont l'air de prĂ©parer une fĂȘte dans un champs. Je vais avoir du mal Ă dormir... Remarque c'Ă©tait dĂ©jĂ compromis... Et pourtant mon corps est fatiguĂ©. Contrairement Ă lui, mon esprit ne l'est pas du tout.
Au fait,mon pseudo chéri m'a téléphoné. A 2h00 du mat'. Le problÚme c'est que le matin je devais me lever à 6h00. Et puis j'avais beaucoup de choses à lui dire. Enfin bref, pas assez de temps, pas assez d'esprit clair, et de toute façon, pas assez de batterie sur mon portable. Donc pas répondu.
Enfin ça ne m'a pas empĂȘchĂ© de lui Ă©crire un texto dĂšs le lendemain, lui expliquant que j'avais bien vu qu'il m'avait appellĂ©...bref, tout ça pour dire que je pense encore Ă lui. De façon claire et sans dĂ©tour : lui sur moi, moi sur lui... Mais non, pas que ça !!! Lui et moi dans la cuisine (la table, contre le frigo, tout y passe, surtout moi d'ailleurs...), mais lĂ je dirais que c'est plutĂŽt la piscine qui m'attire. Justement j'en ai une sous les yeux.
Ce mec m'attire trop en fait (grand, brun, les yeux bleus et barrac, que demander de plus ?), et c'est loin de lui que je m'en aperçois. Remarque ça me permet de me faire mes films.
Ah et puis le mois prochain je vais Ă une fĂȘte avec lui. C'est son aniv'. Famille, potes... Je connais dĂ©jĂ quelques personnes. Alors je me dis pour me rassurer que si on doit sortir ensemble, ça pourra se faire lĂ (ou avant mais bon il rentre le 05/09). Je lui ai achetĂ© une gourmette en argent pour l'occasion (18 ans quand mĂȘme !!). Il faut dire que pour mon aniv' Ă moi, il m'avait offert un piercing pour mon nombril fraĂźchement piercĂ©. Je le porte en ce moment d'ailleurs (et ce depuis qu'il depuis est parti), une autre façon de penser Ă lui...
Je pensais qu'Ă©crire me permettrais d'arrĂȘter momentanement de penser Ă lui, mais non. De toute façon il doit m'appeler ce soir. Je me demande si il va se faire une nana lĂ bas (plage, potes, soleil et libertĂ©, c'est risquĂ©...). J'sais pas. De toute façon c'est pas ça qui va m'arrĂȘter.
Bon c'est fini pour l'écriture, revenons à mes pensées si peu catholiques...
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