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Journal intime créé par ptite puce

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Ce journal est partiellement publique
Journal public


Préface
 Commençons par ... le commencement
 euh comment on fait là ?
 moi et les zommes
 Anorexie
 le texto magique
 moi la tite cossone
 Soirée déprime
 Mélancolie quand tu nous tient...
 La rentrée...
10   Me tirer une balle
11  Verdict... roulement de tambours...
12   Confidences
13   Rapport
14   Rapport de rapport
15   Zè tout dit mon capitaine !!
16   Une âme charitable pourrait-elle m'aider ?
17   Boire et déboire
18   Fêtes
19   Ma vie est plate de partout
20   Résumé de la dernière fête
21   et hop, retournement de situation
22   Levez la tête : eh oui, j'y suis...
23   Tout mou
24   Après midi câline
25   J'aimerais avoir un pénis
26   Etats d'âme
27   A l'autre
28   Situation sexuelle...
29   Mon pseudo chéri est loin
Verdict... roulement de tambours...      page publique

Le verdict est tombé : nous ne nous sommes pas embrassés, nous avons fait mieux... Non non on a pas couchés ensemble, on à parler toute la nuit, (d'ailleurs je distingue même plus les touches tellement je tombe de fatigue...) On plante le décors ? Allez c'est partis.

La soirée en elle même était pas mal sans plus. En fait je m'ennuyais un peu alors j'ai un peu forcé sur le champagne. Moi qui n'aime pas ça j'me suis envoyé une dizaine de coupes...

Enfin vers trois heures du matin alors qu'il est (enfin)seul, je vais le voir et lui propose qu'on s'isole un peu tout les deux. Ni une ni deux on monte dans sa chambre, je lui offre son cadeau, ça lui plaît. Je lui demande déteindre la lumière. On s'allonge sur son lit. On rit beaucoup, on parle à n'en plus finir de nos ex, de nos vacances, de nos partenaires idéaux, et pis là bing j'apprends qu'il a une cinquantaine de partenaires à son actif...

Et puis la fatigue commence à se faire sentir. Je lui dis que je suis fatigué et que je vais pas tarder à rentrer. Il commence à me caresser les cheveux. Humm comment rentrer à présent. Nos mains s'effleurent, nos bras se frôlent, j'ai l'impression de flôter dans du coton. Il me regarde, me dis que je suis belle. Et pour la première fois de ma vie, je crois cette personne. Je ne pense plus à rien.

Il est 6h30, le jour ne va pas tarder à nous déranger. Je décide de rentrer à contre coeur. Il me raccompagne.

On se revoit le week end prochain.