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Journal intime créé par ptite puce

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Ce journal est partiellement publique
Journal public


Préface
 Commençons par ... le commencement
 euh comment on fait lĂ  ?
 moi et les zommes
 Anorexie
 le texto magique
 moi la tite cossone
 SoirĂ©e dĂ©prime
 MĂ©lancolie quand tu nous tient...
 La rentrĂ©e...
10   Me tirer une balle
11   Verdict... roulement de tambours...
12   Confidences
13   Rapport
14   Rapport de rapport
15   ZĂš tout dit mon capitaine !!
16   Une Ăąme charitable pourrait-elle m'aider ?
17   Boire et dĂ©boire
18  FĂȘtes
19   Ma vie est plate de partout
20   RĂ©sumĂ© de la derniĂšre fĂȘte
21   et hop, retournement de situation
22   Levez la tĂȘte : eh oui, j'y suis...
23   Tout mou
24   AprĂšs midi cĂąline
25   J'aimerais avoir un pĂ©nis
26   Etats d'Ăąme
27   A l'autre
28   Situation sexuelle...
29   Mon pseudo chĂ©ri est loin
FĂȘtes      page publique

Je suis sĂ»re que quelqu’un m’a jetĂ© un sort en ce qui concerne les fĂȘtes. Maintenant que j’y repense, c’est obligĂ©. Y’a qu’à voir. Quelques exemples ? Je bois Ă  toutes les fĂȘtes oĂč je me rends. Pas pour faire comme les autres, non non, c’est juste que j’ai besoin d’un ptit truc pour me « libĂ©rer », me sentir en confiance, lĂ©gĂšre quoi. Et pour me dĂ©sinhiber, rien de vaut un Malibu ou une vodka orange. Avec un verre je suis de bonne humeur, deux et je rigole Ă  toutes les paroles prononcĂ©es, trois et je danse. Toute façon je connais mes limites : je n’ai jamais vomis, je ne me suis jamais retrouvĂ©e dans une chambre Ă  dormir en tentant de stopper une voix infernale dans pas tĂȘte. Ben vous voyez, j’suis une pochtronne sĂ©rieuse moi…

Mais je sais pas pourquoi, une malĂ©diction plane sur moi. Avant d’aller Ă  une fĂȘte j’ai toujours des objectifs, des souhaits des dĂ©sirs mĂȘme, mais il n’y a rien Ă  faire, ça rate Ă  tous les coups. A chaque fĂȘte il y a toujours minimum deux ou trois gars que je me ferais bien, mais il n’y a rien Ă  faire, j’me plante Ă  tous les coups. Pourtant j’suis toute gaite, sexy, (j’ai pas dit provocante !!), je me trĂ©mousse un peu mais pas trop, je sais pas ce qui cloche. Bon certes j’ai tout le temps le droit Ă  des : « Ben dis donc t’est bien bonne toi… », mais bon, c’est pas vraiment ce que je recherche. A bas la modestie : je comprends pas un truc (oulĂ , attention, soirĂ©e d’auto-analyse…). Je suis une fille plutĂŽt jolie, (je me base uniquement sur ce qu’on me dit et non sur un avis personnel) je suis pas trop conne, (vous avez remarquer l’estime que j’ai de moi-mĂȘme au passage…), bref je pense avoir quelques petites qualitĂ©s qu’en mĂȘme… Et ça foire quand mĂȘme. La faute au vaudou, y’ quelqu’un qui m’en veux :

FĂȘte en 3Ăšme, le gars dont je suis amoureuse depuis des semaines se tape ma meilleure amie,
FĂȘte en 2nde, un gars tout simplement sublime passe la soirĂ©e Ă  me coller, s’endort blottit dans mes bras. Deux jours plus tard, il fait courir le bruit qu’il ma sautĂ©.
FĂȘte en 2nde, je sors avec mon copain depuis quelques heures lorsqu’une embrouille gĂ©nĂ©rale se met en place, toute l’assemblĂ©e est tĂ©moin de notre coup de gueule.
FĂȘte de 1Ăšre, fĂȘte mĂ©ga pourri chez ma meilleure amie, je me barre avec des potes, on s’embrouille pendant une semaine.
Je vous passe les 100 autres qui se rĂ©sume Ă  un squat gĂ©ant oĂč 20 personnes se bourrent la gueule, 30 se dĂ©chirent au shit et Ă  la beu, 2-3 baisent dans tous les coins de la baraque…
Et moi dans tout ça toujours avec mon Malibu dans le nez, j’me contente de pousser des petits cris stupides en invitant tout le monde à danser…

Ben tiens pas plus tard que la semaine derniĂšre, Ă  la fĂȘte oĂč je suis allĂ©e (voire page prĂ©cĂ©dente), Ă  la base j’y allais pleine d’entrain prĂȘte Ă  m’amuser, et lorsque j’ai vu que le seul gars potentiellement intĂ©ressant de ma classe s’y trouvait je me suis encore plus marrer, et avec lui qui plus est, (on a dormi ensembleJ). Mais quand j’y repense je dĂ©prime. Pourquoi ? Ben parce qu’il aurait pu se passer pleins d’autres choses, mais je me suis plantĂ©e, comme Ă  chaque fois. O rage, ĂŽ dĂ©sespoir, je me dĂ©teste…

Demain y’a une fĂȘte de prĂ©vue… C’est Ă©trange, je la sens malÂ