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CHAPITRE N°13 : La rentrée :  page publique
CHAPITRE N°13 : La rentée :
Voila ! Il est sept heures du matin et c’est la rentrée ! Cela veut dire retrouvailles et rencontres avec les nou-veaux mecs de mon école ! J’espère que cette année, il y en aura pleins ainsi j’aurai le choix. Je suis déjà habillée, maquillée. Tout se passe pour le mieux et je stresse. Oui, de ne pas trouver mes amies, de ne pas savoir ou aller, de ma faire disputer et que tout le monde se moque de moi le premier jour… Mais normalement, tout devrait bien al-ler. Enfin, je l’espère de tout mon cœur…
Nous y sommes. La voiture de mon père est garée de-vant l’établissement ou je vais bientôt pénétrer. Le stress est parti à la seconde ou j’ai vu Marie, qui attendait de-vant le volet. Je suis sortie à toute vitesse et folle de joie, je lui ais dit :
- Oh ! Je suis trop contente de te voir ! Ou sont les autres ?
- Ah ben tu ne savais pas ? On peut venir pour dix heures, hein !
- Quoi ? On pouvait venir pour DIX HEURES ? Mais je ne le savais pas ! J’aurai pu dormir une heure de plus… Et pourquoi t’es venue pour huit heures, toi ?
- Ben ma sœur devait être là pour huit heures et comme ma mère ne voulait pas faire le trajet deux fois…
- Ah ben, j’en ai de la chance ! Sinon j’aurai flippé à mort !
- Je sais.
Nous n’allions quand-même pas aller à l’étude pen-dant les deux premières heures de cours de l’année alors qu’il y avait un de ces soleils ! Oh, qu’il faisait chaud !
Nous nous sommes installées sur le banc près des ma-chines à contempler les gens qui passaient et j’ai déjà re-péré des nouvelles têtes. J’ai rencontré des autres élèves mais on aurait dit que personne n’avait vraiment changé ! A part Marie et moi. Elle qui a mit une drôle de robe, on aurait dit une grand-mère, mais c’était plus joli sur elle, et moi avec mes nouveaux vêtements et ma coiffure d’enfer ! Mes boucles à piège à garçon ! Ca me va super bien alors pour le premier jour de cours, autant en profi-ter. Plus les minutes passaient, plus les gens se regrou-paient autour de nous. Ce qui n’était pas plus mal.
Vers neuf heures, quand la sonnerie a retenti, ma co-cotte et moi, nous nous sommes dirigées vers les casiers, voir ce qui avait changé. Nous avons décidé de rester là-bas quand j’ai aperçu un type bizarre qui nous matait de-puis quelques temps. Il ressemblait un peu à Gilles et à Tarzan en même temps. Assez bizarre comme coupe de cheveux. Des crolles noires qui lui donnent un air de grosse tête… A chaque fois qu’on regardait, il regardait aussi. De plus en plus flippant… Entre-temps, on se ra-contait le reste de nos vacances. Oui, parce que Marie est venue chez-moi deux jours au mois d’août et on s’était raconté le mois de juillet. Maintenant, c’est le tour du res-te des vacances.
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