Vent d'ange Journal intime créé par wilde PLACER UN MARQUE PAGE | AJOUTER LE CONTACT AUX FAVORIS | Journal public Préface 1   Prélude 2   Philosophie de comptoir 3   Arracheur d'enfance 4   Tissu de souffrance 5   J'ai besoin de ça... (1ère partie ) 6   J'ai besoin de ça ... ( suite et fin ) 7   Quand la mémoire fait son cirque... 8   Résolution journalière 9   Petite leçon par de grands amis 10   While my guitar gently weeps 11  -------------- 12  -------------- 13   Maestro, musique! (A corps parfait) 14   Mots lourds sur papiers volants 15   Arrete ton cinéma! 16   Fruit défendu 17   L'ébauche d'un rêve, la débauche d'un autre 18  -------------- 19  -------------- 20  -------------- 21  Je veux rester flou! 22   Paroles d'une inconsciente 23   Résurrection 24   Mr Wilde 25   Sonate pour papilles 26   Faites vos jeux, rien ne va plus! 27   Ether-nité 28   Tic-tac 29   New World Record 30   Par procuration 31   American Pie 32   Juste une petite envie 33   Analyses 34   Le temps d'un week-end 35   Y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler 36   Baudelaire et les lucioles 37   S'effacer 38   Bouleversé! 39   Wilde est un cancre. 40   Sans queue, ni tête... 41   Petite recette 42   Mes ombres sont mes lumières 43   Compte rendu d'une réunion 44   Merci... 45   Fermer les yeux sur le silence 46   On peut toujours rêver! 47   Petit-coeur "sing" des mots sucrés 48   Arrosez-moi 49   Dernierement, en vrac 50   Souveraineté du vide 51   Manquait plus que ça! 52   Une vulgaire tache d'huile 53   Grandir 54   "Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve" 55   Oublie involontaire 56   Oublie volontaire 57   Sous le tropic du CANCER Je veux rester flou!      page publique Dehors le temps est à lÂ’orage. Allez, dehors! Tout le monde dehors! Oublie ce monde virtuel Wilde! JÂ’embrase mon terrier, jÂ’annule ma chambre à part. Je sors me joindre à lÂ’affluence, me poser sur une branche. Je toise, et je tisse une pensée pour elle. Mon regard roule, il écrase lÂ’effervescence. Je veux rester fou! Attention jÂ’ai lÂ’air dans la lune, mais je veille. Entre mes doigts, la fumée se forme. Elle gonfle mais dissipe le mal entendu. Je repense à toutes ces nuits sans voir le jour, à tous ces corps à qui je nÂ’ai pas fait lÂ’amour. Les nuages déchargent leurs pluies électriques, je vous déteste tous... Bon Dieu, allez au Diable! Faut que je divorce avec la Grande Ours, que je vogue en éclats, et que je fasse de l’équinoxe une éclipse. Un rêveur dans un monde virtuel, cÂ’est couru dÂ’avance; il va à sa perte... La pluie est acide et laisse un goût amer. Elle me saupoudre de courage et engloutis mes pêchés véniels... Ah!!! Elle mÂ’arrache un sourire...