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Journal qui n'en est pas un Journal intime créé par ptitelou

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Ce journal est partiellement publique
Journal public


Préface
 Petite prĂ©sentation
 Petite explication
 Note sur le mot « petit(e) » (conseillĂ© Ă  la gente masculine)
 Amour de jeunesseÂ…
 Premiere amourette
 Premier jour de seconde et un des derniers
 Premier baiser
 Au revoir Adrien, bonjour Fabien
 Fabien, Fabien, FabienÂ…
10   Renaud,Â…Â….merci petite sÂśurÂ…
11   Coup de pied au "cul"
12   Premier symptĂ´me
13   Première rupture
14  Sylvain
15   MĂ»rir
16   Un week-end parmi tant dÂ’autres
17   ................................
18   Rencontre
19   Pierre (les choses sont clairs maintenant)
20   Mickael, le dragueur en Buffalo
21   Inattendu
22   Romain
23   Que dire ensuite ?
24   Le putain de bal
25   besoin de de votre crĂ©ativitĂ©
26   Le retour de Sam
27   DĂ©jĂ 
28   Ravi que tu sois soulagĂ©
29   Pardon
30   Vive mes bonnes rĂ©solutions !
31   Incognito
32   Deux soirs
33   Un dĂ©but de soirĂ©e pourri
34   Une fin pire ( « cÂ’est pas si grave ! »)
35   Je ne lui en veux pas
36   CÂ’est fini, fini !
37   Tu viendra me voir dans deux jour...
38   Cette fois je te lache plus
39   Mon ange
Sylvain      page publique

Revenons en à Sylvain. Il n’était pas vraiment beau, mais il avait du charme. Il draguait la niaise de service, au début. Et peu à peu nous avons fait connaissance et au bout de quelque temps il venait manger avec nous et me parlait de plus en plus. Et puis un jour il a changé de service. Et quand il m’a annoncé qu’il revenait avec nous, j’étais comme une dingue. C’est pendant cette dernière semaine de travail que tout c’est accéléré. Le dernier jour je lui ai proposé de venir en boite avec mes potes et lors de la soirée nous nous sommes rapproché. Et peu à peu je me suis retrouvé dans ces bras.
Un jour il m’a emmené voir du hockey sur glace, nous devions rentrer en train et ma mère devait venir nous chercher à la gare. Mais j’avais beau répéter à monsieur qu’il fallait partir parce que nous allions loupé le train, il ne m’écoutais pas et donc évidemment nous l’avons loupé. J’ai dû appeler ma mère pour qu’elle vienne nous chercher à la patinoire. Et dans la voiture cet idiot n’a trouvé qu’un moyen pour ce faire excuser : venter sa voiture et acheter ma mère avec des pommes (il vendait des pommes avec son père). Cette histoire est restée culte dans la famille.
Quelque temps après je m’étais lassé de ce jeunot ( il avait un an de moins que moi), un peu prétentieux et qui devenait un peu trop insistant physiquement. Un jour qu’il devenait un peu trop insistant au téléphone (j’aurai préféré lui parler face à face mai bon…) pour savoir ce qu’il y avait, je lui ai donc dit que c’était fini…
Nous sommes néanmoins restés amis.