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une histoire Journal intime créé par Eliane

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Préface
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On nous a pas écouté, tout le monde fui la verité dès que celle-ci met en danger la perception qu'ils ont ou qu'ils avaient de leur monde. Ils refusaient catégoriquement de croire ce que nous affirmions, nous les deux soeurs, sans doute un complots, ou juste des mots balancés par deux gamines peturbés manquant d'une présence masculine qui les auraient controlés, qui leur auraient appris qu'il ne fallait pas parler, qu'il ne fallait pas devoiler les choses qui dérange. Personne ne nous a cru, et amelie c'est enfermé dans son silence, reniant tous les fait, me laissant seul dans ma verité. mais qu'est ce qu'une verité pas partagé, ce n'est qu'un mensonge inventé pour sois même, si vous êtes la seule à le croire veridique... On vous regarde de travers vous qui avez commencé à parler, stupidement sans preuve vous qui avez tentée d'entacher l'honneur de l'homme le plus respecter du quartier. vous n'êtes plus rien. Juste seule avec vos angoisse, vos larmes, votre rage et cette haine envers les autres qui grandi chaque jour, envers ceux qui ne vous ont jamais aidé et qui aujourd'hui vous renie. Comme ci tout ce que vous étiez n'avez jamais existé vous n'êtes plus que l'ombre de vous même, et personne ne vous cherche, personne ne veut vous faire revenir. Et plus le temps passe plus ovus vous morfondez dans votre vie sans but, sans horizon. Vous n'avez aucune crédibilité, on se méfie de vous, on pense que vous n'êtes que de la vermine qui colporte des rumeurs douteuses. vous cherchez malgré tout soutiens auprès de votre soeur, elle qui a vécû la même chose que vous, mais elle vous rejette, se montre grande, forte, mais chaque nuit vous l'entendez pleurer, chaque nuit elle gémit, chaque nuit elle se reveil en sursaut, en sueur dans le lit proche du votre, mais pourtant la distance entre les deux meubles n'a jamais été si grande, si froide. il a tout gagné, tout détruit. vous en revenez même à regretté cette complicité que vous aviez, complicité dans la rage dans la colère dans la folie. Ces sursaut d'alienation qui vous entrainaient dans des combat violent, dans lesquels vous vous sentiez enfin en vie.