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7 page publique
Vivre ou survivre, quelle différence??? c'est ce que je me suis demandé pendant pas mal de temps, tout ce temps la ou je survivais, ou je mangeais juste parce qu'on m'y obligeait sinon je me serait laissé mourir de faim, si seulement j'avais pu. Pourtant dans le fond je regrette pas d'être toujours la, c'est moi qu'ai gagné pas eux. And the winner is...Eliane, enfin ce qu'il en reste. J'ai lu un autre journal aujourd'hui et la personne qui parle, parle d'un vide à l'interieur d'un gouffre vers lequel on tend... ben je le ressent encore et dans ces moments j'ai froid, je fremis je frissonne, je me sens si proche de la fin que je pourrais en mourir, enfin c'est uen façon de parler, je me contente juste de faire des chutes de tension, ca prouve vraiment que le mental joue beaucoup sur l'état de santé. Bref ce que je faisais avant pour m'éloigné du vide, du froid qui t'englobe et qui s'installe en toi si tu le laisse faire, pour m'éloigné il fallait que je me sente en vie, la seule chose qui vous rappelque vous êtes vivante, c'est les sensation surtout la douleur, la douleur de vivre. Alors pour vivre je me faisais mal, il fallait juste que je vois mon sang sortir, juste une pere delicieusement rouge, le liquide de la vie, je le dosais comme je voulais, il suffisait d'une petite entaille pour se sentir respiré et d'une plus grande pour hurler exister. Faire du bruit, se faire remarquer c'est exister, on s'interesse à vous dès lors que vous obligez les gens à le faire, alors vos etude se passe mal et oui vous etes le perturbateur de la classe qui ne fais jamais rien, qui ne travail pas qui est toujours en retard et qui n'accepte pas que vous le regardiez de cette façon. Il y a une façon de regarder les gens qui les rendent mal à l'aise, et elle est souvent employé sur des gens comme ça, comme ma soeur, personne qui veul pas se montrer faible et qui vont pousser leur geulante, alors les mauvais regard fuse. Elle voulait pas être une pauvre victime. Notre prof de math était rien qu'un vieux pervers, il vous regardait avec ces petits yeux de procin la comme si il avait tout droit sur vous. Limite vous lui apparteniez. Son regard se portait sur votre corps comme s'il en connaissait chaque recoin mais qu'il n'hésiterait pas a aller les redecouvrir, un vieux viscieux celui la. Ca m'a jamais plus alors j'suis pas rentré dans ces bonnes grace, et oui c'est toujours comme ça, obéi et tais toi sinon gard à toi. Mais au bout du compte, j'voulais jouer ma vivante, ma rebelle, mais j'me prenais "des claques" a chaque fois et ma soeur aussi, et même des pire que les miennes, j'ai p'tête compris avant elle, le systeme educatif. Le pouvoir du prof tiens dans son rapport aux élèves, être en conflit avec un prof qui joue son sympa c'est mauvais pour vous, le mec vous envoie au tableau, ils sait que vous detesté ça, qu'il va vous mater pendant au moins 10minute, et le summum c'est quand vous pigez rien, et oui c'est ça quand ton fais rien, quand on dit F*** au system et à tout ceux qui le suive sans faire gaffe aux failles, aux non dit, au règles silencieuse qui vous tue. Nous en étions au summum, au moment ou vous commprenez rien, il vous tourne en ridicul, alors vous voulez devenir une souris, vous enfoncez dans la terre, disparaite, vous qui vouliez qu'on vous remarque. Et tous ces sale mioche, ces autres élèves qui rient niaisement. Il ne se rendent même pas compte de la petitesse et de la mediocrité des paroles de leur profs, bande de moutons sans cerveau. Vous vouliez qu'on vous remarque pour que vous vous sentez en vie mais au final votre seul souhait est qu'on vous foute la paix, alors vous evitez le cours de ce prof qui vous horripil et progressivement vous evitez tous les cours.C'est comme ça que ma soeur a quitter l'ecole, et puis elle faisait plus rien de ces journée à part fumer et trainer je ne sais où. Au final elle ne savait plus quel jour on était si c'était le matin ou le soir, dans notre chambre, elle imposait les vollet et les rideaux tirés, le noir quasi absolu. C'est assez morbide de vivre sans cesse dans le noir et c'est pas bon pour le moral, c'est deprimant. Mais dans le noir c'est tellement plus facil de se cacher, de ne plus exister d'essayer de trouver la paix. On ne se voyait plus, que très peu du moins, se voir nous renvoyait toujours déséspérement à nous même. la voir me renvoyait à mon vide, car c'est la seul chose que ces derniers temps je voyais en elle, le vide, la mort. C'était devenu mon cauchemard. Je voulais à tout pris ne pas lui ressembler, moi sa jumelle. Contradiction?
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