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Rève a demi-éveillé page publique
Mon penchant Morbide fait des siennes..lol..Croyez pas ke je ss une perverse, non, mai ds ske jécroi, sa se repete un peux koi..C l'amour et la mort en gros...spa original, je sais...
Emprisonnée dans la prison de verre, qu'est le temps qui nous a séparé, Il ne me reste qu'une sensation de plénitude, Comme un rêve à demi-éveillé d'ou me reviendrai quelques images embrumées. Je regrette toujours amerement ce silence, Ce je ne sais quoi qui m'enferme, M'empèche de te garder près de moi, Et m'éloigne inlassablement du but que je poursuis.. Il était une fois des yeux Océans, un visage d'Ange, Il était une fois ma douleure contenue. Malgré l'aiguille qui nous sépare un peux plus de secondes en secondes, Je garde en moi le seul espoir qui me laisse vivante, Enfermé ds un coffret d'Argent etanche, Protégé au fond de mon coeur, loin du Naufrage. Ai-je raison de croire en l'inevitable ?? La solitude parait m'aller divinement bien, Répandant sur mes traits sa mélancolie mesurée, Ne laissant voir qu'une infime partie de la blessure, Gardant cachée dans l'ombre l'autre partie par espoir de l'étouffer. J'ai beau me dire qu'il faut oublier, Que je ne peux plus changer le passé, Et que je ne fais qu'attiser ma souffrance en la laissant transparaitre, La seule idée de laisser ton visage en moi, s'effacer Me fait mourir et mourir encore. Loin de lété, j'emporte en moi une partie de toi, Un seul souffle arraché a ton inattention, Un seul mot pour me souvenir, Esperant te faire venir a moi par le seul pouvoir de ma pensée. Simple illusion, rien n'est vrai ici, Le mirage se dissipe avec le soleil levant, L'aube de nacre éblouie mes yeux fatigués, Ce sont là les délires d'une malade agonisante. Je meurs à l'interieur, tenaillée par ce mal qui me ronge, Ton regard n'est plus qu'une violente obsession, Je deviens folle à te chercher, A voir ton ombre au coin de la rue, a sentir ton souffle sur ma nuque. Folie du desespoir, de l'amour raté. Il y a tellement de chose a voir, tellement a regarder. Mes yeux se perdent dans le vague, ils se laissent aller aux tortures du temps, Qui semble s'etre arreté comme pour savourer chaque instant de ma défaite. Je me suis laissée arracher à ma sérénité fragile, Ce reste d'équilibre que je conservais, Avec ton départ, tu l'as emporté. La réalité devient un rêve, mon rêve à demi-eveillé. Passe et repasse en boucle mes morceaux de vie manquée, Fait saigner la blessure aux lieux de la panser. Et il y a cette insoutenable complaisance dans mon malheurs, Plus facile d'être la victime que de se detacher de cette emprise infernale, Qui me tue, m'achève sans un regret... Un sourir aux lèvres, mon visage pâle parait enfin appaisé, La paix ne peut venir que par la fin du cauchemars, J'ai mis du temps à le comprendre. Je n'entends plus que des voix qui chuchotent a mon oreille, les mots son imperceptible, Son indistinct Qui me parait lointain, le bruit s'est éloigné. Mon coeur brisé est enfin libéré. Plus de mal là ou je vais, Seulement la paix, La paix.. Juste un rêve à demi-eveillé, Dont je ne me reveillerai plus..Je le sais..
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