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l'Antre de la folie Journal intime créé par Vianney

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Ce journal est partiellement publique
Journal public


Préface
 Page d'acceuil
 Préambule
 Préambule (fin)
 Introduction
 Introduction (fin)
Chapitre 1 - sans titre
 Chapitre 2 - Folles poésies
 Chapitre 3 - sans titre
 Chapitre 4 - Citations
10   Chapitre 6 - Satori
11   Chapitre 7 - Le guerrier
12   Chapitre 8 - Le moine
13   Chapitre 9 - L'artiste
14   Chapitre 10 - Le poète
15   Chapitre 11 - Le sage
16   Chapitre 12 - Débauches
17   Chapitre 13 - Discipline
18   Chapitre 14 - Bilan
19   Chapitre 15 - La Mort Suicide
20   Chapitre 16 - A bientôt !
21   Chapitre 16.Couloirs
22   Chapitre 16.Couloirs
23   Chapitre 16.Couloirs
Chapitre 1 - sans titre      page publique

_Pour commencé je vous propose quelques unes de mes notes.
En fait beaucoup de mes notes m'ont été inspirées lorsque je me trouvais en situation, je les composais donc de tête sur le moment et les retranscrivais sur papier parfois plusieurs jours après.
C'est ce qui a donné la possibilité à certaines d'entre elles de mûrir alors que d'autre n'en sont encore qu'a l'état brute de mes émotions
retranscrites.Les séparateur que j'insère dans mes textes ne séparent pas les paragraphes
mais mes différentes notes. Ne chercher donc pas à faire le liens entre elles car elles peuvent avoir été écrites à des moments tout à fais différents.
Cependant je m'éfforcerai de réspécter une certaine chronologie
afin de leur donner un sens commun qui est mon évolution interieure.
La première remonte à pas moins d'un an, je me souviens en avoir été inspirer lorsque je marchais seul à deux heures du matin au bord d'une route de campagne. Je travaillais de nuit à l'époque et marchais trois km pour rentrer du travail.
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_Une nuit, alors que je marchais au bord d'une route, m'adonnant à la reverie, j'eu peu à peu l'impression d'entendre mes pas avant de les exécutés.
Ce devais sans doute être le fruit de mon imagination, mais cependant, tenant toujours le plus grand compte de mes perceptions, quelques pas plus loin, je fis semblant de fouler le sol, ruse qui confirma mon entendement. L'angoisse endormant la raison, je me retournais brusquement et vis?!..
rien, pas l'ombre d'un homme ni même l'homme d'une ombre.
Avais'je réver ?
Aujourd'hui encore je ne parviens pas à m'en convaincre.
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Je suis une solitude,
mélancolique habitude,
qui n'a pour seules limites que l'étendue de mes pensées insolites.
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_J'aimerai écrire une histoire,
J'aimerai chanté une chanson,
écrire une partition.
J'aimerai égarer quatre cinq dessins,
Qui auraient glissés de ma main.
On me retrouverai étendu,
Presque oublié du monde.
J'aurai aimé mourir,
Sans laissé de souvenirs.
Mais c'est si bien quand quelques dessins,
Si ce n'est une chanson,
Reste dans la mémoire de quelqu'un.
Si vous ne comprenez toujours pas,
Si vous ne savez pas pourquoi,
Il n'y a pas de mal à ça...
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_Peut etre devrai'je ajouter un commentaire à chaque note afin d'éxpliquer les contextes dans lesquel elles me sont venues à l'ésprit.
Ces commentaires les complèteraient de mon poind de vue actuel.
Je pense que ce pourrai étre trés enrichissant, ce serai une forme d'explication de texte. Une manière de faire le point entre le passé et le présent, c'est en même temps une trés bonne méthode pour me clarifié l'ésprit sur des souvenir d'une vie passée bien trop souvent mal comprise.

Pour conclure ce premier chapitre, voici un poème de saison que j'ai écris
il y a déja quelques années mais que j'ai remodeler des ces années vécues.

_L'Automne

Je regarde le temps
Ou les feuilles mortes,
Ou les branches tombent,

Je regarde les champs
Assis devant la porte,
Blottis dans la pénombre,

C'est en ce temps là
Que je me lève le matin,
A la chaleur du feu de bois,
S'il en reste pour demain,

Lorsque chaque année
La nature entonne,
du bout de la cheminée,
Son doux chant d'automne.

_Vianney_