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Chapitre 16.Couloirs page publique
Couloirs, je traverse un couloir, ce n'est qu'un couloir... Je veux refaire surface; revenir à la réalité. Pourtant le temps passe; alors pourquoi s'en faire ? Au bout du couloir il y a la lumière; comme dans n'importe quel couloir. En fait dans la réalité il y a de la lumière dans un couloir, il s'agirait plutot de tunnels, de tunnels interieur... c'est pourquoi il n'y a pas de lumière; mais puisque c'est à l'intérieur, pourquoi pas un couloir ? Ne pas boire, ne pas fumer, ce sont les conditions à remplir pour rester en surface et ne pas m'enfoncer dans les méandre de mon ésprit. Dédale de "couloir" formant un labirynthe dans lequel se perd et se disperse ma conscience et mes pensée jusqu'à ne plus existée. Aspirée par se trou noir sans limite d'ou il ne me parait revenir que la folie; je suis perdu... Etranges allucinations, le sommeil me manque, et cette musique envoutante, d'ou vient elle ? Elle est là , elle résonne, je l'entend comme si elle était à coté de moi, je peux la sentir, la palpée, je crois qu'elle m'aspire, j'ai l'impression de tombé, en avant, en arrière, de traversé le sol puis de retombé du ciel. La nuit est fraiche, les rues sont jaunie par la lumière comme le papier d'un livre vieux comme le monde qui raconterai l'histoire d'un mec bourré un soir, seul, traversant un couloir... Promenade nocture au grés du temps qui passe, raconte moi le fond de la bouteille... Aller! raconte... Triste symphonie au harmonies décadente, les Pink Floyd se lamantent....Broken Myself!...
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