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Chapitre 8  page publique
Cette journée avait vraiment mal commencer, heureusement, je finis à 15 heures… La journée terminer je partis en direction de chez moi et m’installa devant l’ordi avec un paquet d’Oréos, je mit la musique et écouta « Another World », je chanta cette chanson puit mangea un Oréo, et ensuite je mit « Moments », ma chanson préférée, je regardas toutes les photos des One Direction que j’avai
s sur mon Ordi, je les avait classée par date, pour voir leur évolution. Je rigolais car je savais que chaque photos qu’ils prenaient étaient différentes des autres à la fois dans leur regard, dans leur sourire et aussi dans leur façon d’exprimer leur humeur… Je n’ai pas vraiment de préféré, je les aimes tous autant, je ne sais pas vraiment comment expliquer ce que je ressens pour eux, moi-même je ne le sais pas vraiment, je suis perdus dans mes pensée ; à certains moments je n’ai plus envie d’être populaire, maintenant que je le suis, je le resterais toujours, je ne serais plus une fille normale qui allaient en cour parce qu’on étais obliger, maintenant je serais toujours la fille qui va en cour car les gens la respecte, j’aimerais être fille qui ce fait insulter de temps en temps, d’avoir des échecs amoureux, ce genre de fille qui n’ont jamais gouter à la popularité, qui ne reçoit pas 300 messages facebook à chaque fois qu’elle est connecter. Une fille qui à ses qualités et ses défauts que elle seuls connait. Maintenant, quand on est populaire, à chaque fois qu’on twitte un truc, c’est retwitter plein de fois, ou quand on met quelque chose sur Facebook ; tous le monde met « J’aime », sa devient laçant. Toutes les filles rêves d’être populaire, mais sincèrement au bout d’un moment sa lasse, je dit pas le contraire, des moments c’est agréable de ce sentir apprécier mais des fois j’en ai marre. J’allas faire un tour sur Twitter, et je vus que j’avais 783 abonnées, que tout mes Twittes ont été retwitter minimum 200 fois. J’éteignis l’ordi, lacer de voir tous sa ; je prit mon portable, me coucha sur mon lit, et regardas toutes les photos que j’avais prise avec Lalie, ça m’a bien pris une heure ; je laissa couler une larmes le long de ma joue en me demandant si ma vie aurais été pareille si elle ne serait pas là…
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