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Délire nocturne& question existencielle page publique
Écrire... quel mot tentateur… pondre un roman, mais je sais que je n’en ai pas la force ni l’inspiration pour mettre au monde un roman... je devrait cessé d’écrire, c’est un de mes dernier point vulnérable, une de mes dernière faille par lequel les inconnus et même ceux auquel je tient peuvent me blesser. Comme sa démolit st’impression de ne pas être a la hauteur, de tout le temps raté mes œuvre. Avant c’était écrire qui me permettait de survivre, maintenant c’est écrire qui m’empêche de vivre. On m’installe devant une page blanche et elle va le resté si on me donne pas un thème précis. Pareil en dessin. En dessin ej suis médiocre, je rate tout... il suffit d’une critique a propos de l’un deux et ça me brise, me broye. Avant l’idée d’être écrivaine, me donnait des ailes, une force en moi, maintenant c’est écrire qui me vole cette force, me déchiquette de l’intérieur. Pourquoi je ne peux vivre normalement? Pourquoi ce besoin d’écrire me tenaille tant les tripes? Pourquoi je ne peux amputer la partie sensible et rêveuse en moi, la partie qui a encore des illusion? Je devrait redescendre sur terre, sinon je vais m’écraser car plus rien me donne des ailes, ni me fait planer. Je devrait ranger crayon, stylo, feuille et essayé de vivre avec ce trou en moi... vivre sans l’illusion qu’un jours mes écrits soit complété ni même publié. Ratée, ce mot tournoie en moi, il sonne vrai a mes oreilles. Pourquoi j’ai nier si longtemps que j’était une ratée au rêve irréalisable et briser? Je suis anonyme et le resterait a jamais, jamais je ne ferait palpiter un lecteur au rythme des mots. Jamais, a toute les fois j’ai voulu et essayé, on a rejeté, trouvé laid se que j’avait écrit, piétiné mon coeur. La solution pour épargné mon coeur est de couper, d’arracher a blanc cette partie en moi, moi même avant que quelqu’un d’autre le fasse. Ce que j’écrit n’est jamais parfaits a mes yeux, c’est un rêve enfantin et puéril de vouloir être écrivaine. Je devrait vieillir et mûrir et cessé de déconné, devenir adulte. Les adultes n’ont pas d’illusion comme fardeau, comme poids mort. Je me rend bien compte qu’au niveau intelligence, gentillesse, écriture je ne suis pas remarquable... qu’elle est ma place dans ce monde laid et crule? Je crois qu’elle est nulle part en fait...
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