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date d'un boute2 page publique
Je réapprivoise l’écriture, cela fait si longtemps que j’ai délaissé une de mes raisons de vivres. J’ai le besoin d’écrire dans le sang, ce besoin palpite partout en moi, cri son emprisonnement injuste. Il se rebelle, il se dérobe, m’attire et me repousse. L’écriture est une flamme qui brûle en moi. Je dois réalisé mes rêve même si cela use ma vie, car une vie au rêve éteint est une mort de l’âme. Muses de l’écriture pardonne moi de t’avoir oublié, mais chaque lettre que j’écris, je l’écrit avec mon âme. Que ferais je quand il me resteras plus d’âme? Je serait devenue une bougie qui n’a plus de cire. Au moins j’aurait la satisfaction d’avoir écrit. Les mots coulent en dehors de ma tête comme lors ce qu’un barrage se rompt, la rivière gronde, menace mais est heureuse. Mon cœur, ma tête ma raison, son en harmonie. Je suis sereine, ma tête est remplie de mots, de phrase qui danse. A chaque mots que je j’accouche j’ai l’impression de bâtir la plus belle construction du monde. Maudit soit mon frere qui a essayé de me brisé, de broyer mes rêve en détruisant mes romans que j’avait accouché avec tant de peine. Je me rend compte que si j’ai survécu a tout c’est grâce au pilier qu’est l’écriture. J’ai refusé de courbé l’échine, de me soumettre, j’ai accepté l’humiliation en sachant que l’écriture me délivrerait. Mon cœur avait soif d’écriture comme si je l’avait perdu dans le désert. Bois, rassasie toi de ses mots que je te jette en pâture. Pardonner moi les muses, j’ai failli laisser s’éteindre le feu sacré qui brulait en moi, me maintenait en vie, j’était en train de devenir sèche, une écorce vide donc l’ame c’est enfuie… ------- maintenant je le pense plus mais jle mets quand meme ------ g la manie de tute écrire a word pi doublié se site la:S...
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