Journal public |
|
| |
à semaine de merde, week end de merde (1ère partie)  page publique
Bah voilĂ le we est fini.
Un we vide, horrible, dans la continuité de la semaine...
Je l'appréhendais et j'avais bien raison.
Vendredi soir, pas de chouchou, enfin si sur le net.
Moi un peu dég et un peu paumée.
Si c'est pour parler toute la nuit sur internet, pourquoi ne pas se voir, ce serait tellement plus simple et tellement mieux.
Question fatidique : crois tu avoir du tps Ă me consacrer ce we ?
RĂ©ponse : possible.
J’aime les réponses à 2 bal comme ça…
Samedi, dentiste.
Bonne nouvelle, normalement mes dents seront finies début mars. Plus qu’un mois à tenir.
Un après-midi foireux, la déprime qui me gagne petit à petit.
Le soir, je vois un copain sur le net qui va pas bien du tout. Il m’a appelée et on a prévu d’aller boire un verre le soir.
JÂ’envoie un sms Ă chouchou pour lui proposer de mÂ’accompagner.
Pas de réponse.
Il se connecte un peu plus tard.
Je l’agresse un peu dès le début de la conversation par un : tu pourrais répondre !
On s’est enflammé, embrouillé par la suite pour une connerie. Lui qui se barre faché.
Moi venere de chez venere, craking en direct live Ă mÂ’Ă©gosiller toute seule par Ă©crit.
Frustration extrême de ne pas avoir de réponse. La pression monte et ne s’apaise que à son retour sur msn. Enfin, si on peut appeler ça « apaiser »…
On sentait de la rancœur de chaque côté des pc.
Je vais à mon rdv. Ca a été, c’était pas la joie pour le copain en question mais ça m’a fait du bien de sortir un peu.
Je rentre, je me connecte Ă msn. Qui je vois ? bah chouchou.
Très froid comme climat. On a essayé de délirer mais on sentait que quelque chose allait pas.
On continue Ă papoter. Au moment de se dire bonne nuit, on aurait dit 2 Ă©trangers.
Je l’ai appelé histoire de transformer ce moment d’aigreur en ptit moment mignon.
Il m’a pas répondu.
|
