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Poème 2...  page publique
LA TENDRESSE.
Nos tendresses comme des prémices
à quelque chose de plus fort, de plus grand.
LÂ’ivresse de deux corps qui
se cherchent puis sÂ’aiment.
L’oubli du monde extérieur lorsque
lÂ’Autre nous berce dans ses bras.
La crainte quÂ’un jour Il ne se lasse de tout,
de nous.
Et la douceur dÂ’une histoire
qui ne cesse de sÂ’embellir.
Tous ces mots pour toi,
pour nous.
Pour que tu saches l’étendu de mes sentiments
parfois si troublants.
LOBA
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