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Anatomie d'une vie Journal intime créé par stefan

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Ce journal est partiellement publique
Journal public


Préface
 Première page
 Fait chier c'con
 hétéro
 Le Che
 Les vérités
 Si Yourcenar m'était conté
 www.désespérer.com
 Stefan Junior
 Le bombardement de Köln
10   La A1 en direction de toi
11   3 milliards - 2 = ?
12  NRJ
13   Attendre que la nuit t'amène au matin
14   Les anges ont le torse poilu
15   Ã  coup de pied dans la vie
16   Nicolas Page
17   my red light is flashing
18   L'amour est un sac bourré de foutre
19   The first time,ever I saw your face
20   de baise en baise
21   Par delà le bien et le mal
22   Rien à dire
23   Démence
24   Comme on froisse du béton
25   Cette horrible chose qu'on appelle l'amour
26   Une cloche à fromage sur ce vide
27   L'amort
28   Road trip.
29   Comment enseigner à son coeur que c'est un crime d'aimer encore
30   Quand la vapeur habille ma fenêtre
31   Mon empire de pousière
32   Mon empire de pousière
NRJ      page publique

Aux 18 ans et plus seulement.
J'ai trop bossé dernièrement. 81 heures la semaine dernière. Les samedis, dimanches depuis le début du mois. Ça fait chier et puis en même temps ça me garde l'esprit ailleur. Je rentre crevé. Jus d'orange. Dodo. Je suis plus très sex. Ni dans le regard ou l'attidude. Je ne me branle presque plus. Dimanche après le boulot j'ai connecté sur chat. Je me suis mis à parler avec se mec qui vit pas très loin, 10 minutes à pied pas plus. Il voulais me sucer. Rien d'autre. Alors moi tout con j'ai pensé que ça serais cool. Que j'avais besoin de me vider les couille alors pourquoi par une bouche chaude. J'y suis allé. Il était assez mignon sur la photo. 45 ans, les tempes un peu grise. Je me suis assit sur le sofa mort de fatigue. Il s'est mis`à me sucer. Ça allait. J'ai fermé les yeux pour pas le voir. Puis je me suis senti faible. Il suçait mon énergie le vieux. Les vieux font ça. Ils te suce le jus comme si c'était une fontaine de jouvence. Il s'est désabillé. J'ai rien dit. Le haut du corps ça allait encore mais les jambes maigre, un cul dégueulasse, mou, flasque... J'ai mis mes mains sur ces épaule parce qu'elle étaient fermes. J'ai fermé mes yeux. Mais l'odeur. L'odeur de vieux, de vieille cigarette et de salut de bronzage. Sa peau comme du cuir. Il ne suçait pas assez bien pour me faire cracher. alors je me suis dit que je devrais me finir à la main pour partir au plus vite. J'ai cru que j,allais vomir quand je suis venu sur sa gueule. il ne méritait pas une goute de mon foutre. Il m'avait bouffé la queue, le foutre, l'énergie, la jeunesse, l'estime. enfin tut ce qui est humain en moi. tout ce qui me reste qui n'est pas encore trop repoussant.
Je suis parti hyper vite. Un goût puissant de vomir.