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L'amour est un sac bourré de foutre page publique
Si il me rejette encore je meurs. Sinon de chagrin je le ferai moi même. Il m'a écrit deux fois aujourd'hui. PUTAIN PUTAIN PUTAIN. J'en ai vraiment trop marre. Il veut que je passe le week-end chez lui. Et moi j'en meurt d'envie le con. Les deux dernières semaines ont été folles. J'ai baisé pratiquement tous les jours. Ce mec blond qui était tombé amoureux de moi il y a deux ans et que j,avais méchament rejeté. Je l'ai appelé. Je l'ai baisé bien profond, bien hard. Et puis hier j'ai rencontré ce mec qui voulait me dominé. C'était fantastique. une des meilleures baise de ma vie. J'ai pu être moi même, faible. Il m'a donné un verre puis il m'a demandé de me déshabiller. Je me suis tenu debout, nu devant lui. puis il m'a dit de me mettre à genou. Il m'a attaché les mains derière le dos. J'ai du le sucer pendant au moins 20 minute comme ça sans les mains. Il forcait sa queue bien au fond de ma gorge. J'ai cru étoufer ou vonmir quelques fois. Je pleurais, j'étais heureux. Après l'avoir sucé il m'a bandé les yeux. Il m'a apporté dans une pièce ou il a attaché mes avant bras à mes mollet. J'était excité. J'avais peur.Il a pincé mes seins jusqu'à ce que je ne puisse plus tenir et que je me mette à chialler. Puis ill m,a embrassé. tendrement. Il m'a collé un gros god au cul. Putain le mal. J'ai pas l'habitude. Puis il l'a laissé là . Attaché. Humillié. Le cul exposé. J'avais mal. Je crois que je l'aime. Il me collait des poppers sous le nez pour que je relaxe. Moi tout ce que je voulais c'est qu'il me baise. Il a détaché les mains pour que je puisse bien le sucer. Je m'étais habitué au god. Puis quand il n'en puovait plus il a retiré le god, puis il m'a baisé. violament, hard, comme un morceau de viande. Il m'a fais lècher ses aiselles pendant qu'il me baisé. il suait comme un porc. J'ai un peu perdu la notion du temps. Je sais pas pendant combien de temps il m'a défoncé le cul comme ça. Je n'avais jamais eu aussi mal à me faire baiser. Je lui répétais ' merci, merci de bien vouloir me baiser. J'étais rien. J'étais moi. . IL a arraché le bandeau de mes yeux pour que je le vois venir. Il s'est mis à crier. Un vrai mec. Puis il est resté en moi. écrasé contre mon corps. sa queue bien dur encore. après un moment il s'est retiré. La capote était bien pleine de foutre. J'ai bien nettoyé sa queue avec ma langue pour pouvoir récupérer le plus de foutre possible. Il m'a pris dans ses bras. m'a embrassé et serré pendant 45 minutes. Je crois que je l'aime. Je sais qu'il ne veut que mon bien.
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