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Une cloche à fromage sur ce vide page publique
Encore une baise nule. Mais comme d'hab, c'est moi le problème. C. a quitté la maison vers 15h. je suis allé à la gym. J'ai regardé la le Portugal perdre. Je suis rentré. J'aivais vue un mec hyper mignon en boîte la veille. Il dansait sur une caisse de son. Les cheveux à la britanique, blond, beau comme un ange. jeune. En rentrant de la gym vite à mon ordinateur. Après 30 minutes de chat, je tombe sur le petit mignon. Je vais le rejoindre chez lui. Il a 18 ans, il a toujours son gras de bébé. Il est hyper mignon, grosse queue. On s'embrasse, c'est bien, je suis bandé dure. Puis évidement il me demande de le baiser, j'en crève d'envie mais je sais que ça va chier parce qu'il est trop beau. J'espère le revoir. Je crois qu'il voulait se faire baiser sans capote, c'est surement ça qui m,a fais débander. En même ttemps, j'ai rien à faire de ce gosse. Beau mais vide. Tous le monde est vide, je suis vide. Tout d'un coup, en l,espace de 10 jours, je me suis désinteressé de C. pourquoi? Je sais pas, je l'aimais puis plus rien. Tout d'un coup ce vide qui se ramène. Alors cette baise, pas mal mais pas bonne. Ça me rassure de baiser des mecs jeunes. Ce mec il avait 10 ans de plus jeune que moi, et pourtant il pensait que j'étais un dieu. Je sais que c,est vide de tout, je sais que ça veut rien dire, mais pourtant ça me rassure. J'ai parlé à H. vendredi. C'étais bien. On a rigolé. Il y a une souris dans son appartement. Il a mis une cloche à fromage sur le trou. J'aurrai aimé lui parler plus longtemps mais C. est arrivé. Il me manque encore tellement. M-A m'a dit que les probabilités que à a marche entre lui et moi son nules. Ça m'a fait mal au coeur, mais profondément... On m'a demandé de rédiger un autre article, j'en ai déjà 2 en chantier, je sais pas trop quoi faire. J'ai mal dormi hier soir, la chaleur mais aussi le bruit de la ville. J'ai penssé à ce mec Gianni qui vivait dans cette chambre de bonne dans le 8ème. Et la vue sur la tour Effel en mangeant des pates. Et cette baise mais absolument catastrophique. J'étais resté parce que j,avais nul part ou aller...
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