 Journal public |
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l'utopie de l'extreme page publique
la peur ce défend de toute couleurs mais elle ce cache en chacun de nous de par sa beauté il n'y a pas d'âme sans un état de peur j'ai tuer toute choses qui faisait de moi nos propre erreurs et j'ai récupéré un peu d'exaltation dans l'ambition de la stupeur et j'ai détruit chacune de nos pensée qui faisait de l'un de nous deux un être aimé j'ai pas choisit l'amour avec autant d'ouverture j'ai braqué mon coeur vers la fermeture ce qui fait de toi et moi un enfer sur terre au rendez vous de la chance j'ai écrasé toute forme de délivrance pour caché cette amour que j'adoptais et pour anéantir ce qui reste de mon âme j'irais cherché la moindre parcelle d'amertume et me laisser tombé car aussi léger qu'une plume s'envolant vers les ecchymose des blessures amères les cheveux au vent et la gorge noué j'ai pensé pouvoir t'oublier toi l'autre moitié de moi qui n'existait finalement pas avec moi ce n'était qu'un simple quelque chose et que tu ne citais même pas un peu comme l'amour est a la vie les pires douleurs sont parait'il silencieuses et ce voile infini celui d'un être tout droit sortie du paradis de perfection et donc d'illusion il était la accroché a ces rancoeurs celle la même qui ne porte pas bonheur la fin justifie ce moyen la celui d'écrire un maux inaccessible au genre humain et de fermer a toute ouverture serait pour moi la pire des solutions reste ce changement que je délaissé la simple promesses d'une métamorphose sur ceux je te propose cette simple prose regarde au loin et reste la d'où je viens mon âme est ton cauchemar il faut la laisser et demain nous nous rêverons pour cherché encore cette même chose qui nous sépare a chaque moment que tu existe.
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